• Je veux que les fées existent, j’y crois, j’y crois…

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    Article d'Olivier Fargin

    Le mois d'août me fait invariablement penser au Songe d'une nuit d'été, une des rares pièces de Shakespeare que j'ai eu plaisir à lire. C'est cette époque de l'année, en plein coeur de l'été, où l'esprit en vacances, libéré de son carcan d'obligations habituelles, s'autorise quelque peu à vagabonder hors des sentiers balisés d'un quotidien morne et routinier. Qui n'a jamais, ne serait-ce qu'un instant, cru aux fées, aux lutins et à la magie est bien à plaindre, tout comme celui qui a perdu son âme d'enfant et qui doit se sentir bien à l'étroit dans un univers intérieur confiné aux limites du possible. Cet article remet les pendules à l'heure et nous explique comment l'univers défie sans cesse les conquêtes de la Science, cette grande arrogante qui prétend tout savoir et tout pouvoir expliquer.

    Ey@el

    « Je veux que les fées existent, j’y crois, j’y crois … »

    Cette célèbre phrase, tirée du récit de Peter Pan, peut faire sourire, et nous renvoie immanquablement à nos souvenirs d’enfance, l’époque où nous étions naïfs et prêt à croire à tous les contes de fées. Rappelons-nous à quel point tout était possible quand nous étions enfant. Et un jour, la science est venue nous imposer sa vision des choses, et la magie (à prendre dans le sens de manifestation surnaturelle) a disparu de notre conscience, et avec elle, nos rêves merveilleux et notre motivation à toutes épreuves.

    Science ou magie, il faut choisir

    Pourtant, on ne peut pas pour autant ignorer les bienfaits et les formidables évolutions modernes qui ont considérablement amélioré notre condition humaine et nos prises de consciences. La science est l’outil qui nous a permis de mettre de l’ordre dans le chaos. Mais il y a un prix à payer ; celui d’appauvrir notre esprit au profit du règne de la matière.

    C’est inévitable, la science et la magie ont toujours été vues comme les deux extrémités d’une balance. Plus on a une vision scientifique matérialiste, plus on exclut la vision magique subjective et intuitive, et inversement. La science cherche à tout expliquer par la matière, quitte à tomber dans les pièges de sa propre logique, et la magie cherche à surtout ne rien expliquer, car cela inhiberait toute sa force. Le problème est que l’on a sans doute besoin des deux pour faire évoluer nos consciences.

    Alors comment placer le curseur entre les deux ?

    On ne peut pas refuser de croire que cette profonde motivation enfantine n’ait pas contribué à faire le meilleur de ce que nous sommes aujourd’hui, et qui quelque part, continue à nous animer et nous aide à faire les bons choix, quand nous en avons le plus besoin.

    Mais, contrairement à ce que la logique scientifique, froide et réductrice, a tendance à nous avoir conditionnés pour devenir des adultes, le monde est finalement beaucoup plus magique et extraordinaire que l’on ne pourrait l’imaginer.

    La science pour expliquer la magie ou la magie pour comprendre la science ?

    Il semblerait que l’outil scientifique qui est à l’origine de notre monde moderne ne représente pas totalement la réalité. Tout du moins, ce modèle représente une certaine réalité mais d’une façon très incomplète.

    L’inconvénient de ce modèle se situe dans sa limitation au strict domaine matériel et directement mesurable. Une chose ne peut exister si elle ne peut fournir de preuves matérielles de son existence, par les outils scientifiquement connus. Autrement dit, si nous n’avions pas inventé des appareils pour détecter les infrarouges ou les rayons gamma, non seulement la science ne pourrait pas prouver leurs existences, mais elle partirait du postulat qu’ils ne peuvent pas exister, préférant ainsi réduire son domaine d’étude.

    Cette notion est très importante. Affirmer qu’une chose ne peut pas exister uniquement par ce qu’on ne peut pas la voir est à l’encontre de la logique. Pour être conforme aux règles logiques de la science, Il faudrait plutôt dire : Dans l’état actuel de nos connaissances, on ne peut pas affirmer son existence, mais dans l’absolu, cela reste possible tant que l’on n’a pas prouvé le contraire.

    Cela fait toute la différence. D’un côté on limite en fermant les possibilités, on arrive ainsi à un raisonnement restrictif, et de l’autre, on laisse toutes les possibilités ouvertes. Cependant, il n’y a que la science pour posséder des outils qui permettent d’ébaucher un début d’explication du domaine surnaturel, et pas l’inverse. Pour cela, la science doit être capable d’élargir son raisonnement et de retirer ses "œillères".

    Le comble de l’ironie est que les scientifiques disposent déjà, depuis les années 50, des éléments de preuves pour expliquer un grand nombre de phénomènes surnaturels : La Mécanique Quantique. Le problème est que la Mécanique Quantique ne fait pas qu’abattre les barrières de notre réalité officielle, elle remet aussi en cause les fondements de la science. On comprend alors pourquoi la résistance au changement est si grande.

    Ce que nous dit la mécanique quantique

    La mécanique quantique nous dit qu’une particule peut être à la fois corpusculaire et onde. En d’autres termes, dans certains cas, la particule ressemble à une microscopique bille que l’on pourrait localiser, et à d’autre moment, elle peut être assimilée à une onde étalée sur des espaces n’ayant théoriquement aucune limite.

    Elle nous dit également que la plupart du temps, la particule est onde, et quand on l’observe, elle se rétracte comme pour se protéger pour devenir un point de sub-matière observable et mesurable. Tout se passe comme si la conscience de l’observation avait joué un rôle dans la matérialisation de cette particule, alors que la plupart du temps, elle est à l’état virtuel, immatériel, ou potentiel.

    Notre conscience aurait-elle une influence sur les éléments subatomiques de la matière qui nous entoure ?

    Encore plus fort, quand la particule est à l’état immatériel, elle peut échanger des informations sans limite de distance. Des expériences scientifiques ont été menées, et ont démontré que les informations transmises d’une particule à l’autre pouvaient se faire sur n’importe quelle distance (quelques kilomètres ou plusieurs années lumière), instantanément, c’est à dire bien largement au-delà de la vitesse de la lumière. Elle n’est tout simplement pas soumise aux lois physiques de la matière.

    La relativité générale d’Albert Einstein est un outil mathématique pour expliquer la physique de la matière, alors que la mécanique quantique explore le monde subatomique. Malheureusement, il y a incohérence, les deux théoriques ne parlent pas le même langage.

    La mécanique quantique serait-elle une aberration mathématique, car elle est trop éloignée de notre réalité ? Ou serait-ce plutôt l’inverse, présentant une réalité officielle élaborée sur les bases de la relativité générale, sur laquelle les fondations de notre monde moderne sont construites, mais n’ayant rien à voir avec la véritable réalité ?

    Le plus déstabilisant dans tout ça, c’est que lorsqu’on demande aux scientifiques les plus renommés, Albert Einstein compris, quelle est la théorie la plus sérieuse, ils répondent tous : la mécanique quantique.

    (Voir Article : Au-delà du monde physique)

    Il ne faut pas oublier que l’un des piliers de la relativité générale est le fait que rien ne peut dépasser la vitesse de la lumière. Or, il y a à peine un an, les scientifiques ont admis officiellement que c’était possible.

    Le pouvoir de la motivation et de l’intention

    Mais quelle est donc l’implication concrète des théories quantiques sur notre réalité, et qu’est que ça change ? Tout d’abord, cela sous-entend que nos consciences, donc nos pensées ainsi que nos intentions, agissent d’une certaine manière sur les particules subatomiques qui composent toute matière. On ne comprend pas encore comment, et dans quelle mesure une pensée pourrait modifier les états physiques d’une particule, mais le fait est que la conscience provoque une sorte de contraction subatomique, un saut quantique, phénomène bien connu mais mal compris par les scientifiques. Tout se passe comme si les vibrations de la matière environnante se mettaient en résonance avec les formes de pensées conscientes.

    (Voir Article : Tout n’est qu’énergie et vibrations)

    Cela pourrait expliquer pourquoi, quand nos intentions, nos motivations et nos croyances sont fortes, tout va positivement dans le bon sens. Inutile de préciser ce qui se passe quand on ne croit pas à la réalisation d’un projet.

    C’est ce qui se passe également dans les mécanismes de guérison, notamment pour le mystérieux effet placébo. Les patients croient avoir pris un vrai médicament, alors qu’ils n’ont pris que de l’eau sucrée, mais les effets sont identiques à la prise du véritable médicament. Le pouvoir de la croyance est extraordinaire, mais il faut véritablement y croire, sans aucune faille, sinon la forme de pensée est différente, n’agit plus de la même façon, et a tendance même à inverser ses effets.

    Et c’est bien là le problème de notre époque. Nous avons perdu le sens de la vrai notion de croire en nous. Notre monde moderne nous a conditionné à ne croire qu’en la science, tout en conservant toujours un doute sur tout. Nous ne faisons plus confiance en personne, même pas en nous même.

    Il faut donc réapprendre à croire, en motivant nos actions, afin que les vibrations de notre environnement présent et futur soient positives et favorables à nos intentions.

    La projection individuelle et collective, causale et rétro causale

    Il semblerait également que la combinaison de plusieurs consciences sur un même objectif amplifierait considérablement les résultats. C’est ce qui expliquerait le fonctionnement des égrégores ou champs de conscience.

    (Voir Article : Champs de synchronicité)

    Définition d’un égrégore dans Wikipédia :

    Un égrégore (ou eggrégore) est, dans l’ésotérisme, un concept désignant un esprit de groupe, une entité psychique autonome ou une force produite et influencée par les désirs et émotions de plusieurs individus unis dans un but commun. Cette force vivante fonctionnerait alors comme une entité autonome.

    De nombreuses expériences de guérison par intention collective, ont été menées et ont donné de nombreux résultats positifs.

    Lors de la mise en place d’un projet on observe la même chose, quand tout le monde partage les mêmes objectifs positifs. Les professionnels des médias ont bien compris ce type de fonctionnement dans les actions et messages marketing pour mobiliser toutes les attentions. Quant à la politique et aux religions, inutile de préciser qu’ils croient profondément à ce mécanisme, et qu’ils l’ont largement utilisé tout au long de l’histoire de notre civilisation.

    Il se trouve que si on suit la logique de la mécanique quantique, la projection d’une conscience ou d’une pensée, ne serait pas limitée par la distance. C’est ce qu’on appelle l’Intrication en physique quantique, il n’y a pas de notion d’espace. Plusieurs consciences éparpillées sur la planète, mais connectées par un même objectif, pourraient influencer un évènement n’importe où sur terre, ou ailleurs.

    Ceci est bien déroutant, mais il y a encore mieux !

    La théorie quantique nous dit également que s’il n’y a pas de notion d’espace, il n’y a pas de notion de temps, d’où l’obsolescence d’une limite de la vitesse de la lumière.

    Dans ce cas, théoriquement, une pensée pourrait voyager dans le passé ou dans le futur, ce qui reviendrait à dire que toutes les formes de pensées conscientes présentes, passées et futures de l’univers, pourraient être en quelque sorte accessibles à n’importe quelle autre conscience. Cela nous rappelle à quel point les anciens étaient avisés quand ils parlaient d’une conscience universelle partagée par tous, comme le champ akashique, d’où ils puisaient leurs connaissances et leurs intuitions.

    (Voir Article : Témoignages surnaturels)

    (Voir Article : L’origine des origines)

    Et si notre destinée était de rejoindre la conscience universelle ?

    Et si nos consciences faisaient déjà partie de cette conscience universelle ?

    Et si la conscience était co-créatrice de la matière ?

    Et si la matière n’était autre que des formes de pensées contractées produites par la conscience ?

    Par Olivier Fargin
    © fargin.wordpress.com

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  • Commentaires

    1
    Mardi 27 Août 2013 à 11:42

    merci ey@le...je fais un petit tour chez toi pour decouvrire un peu plus ton univers

    passe une belle journée 

    amitié féeline

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