• La vérité sur notre système médical prédateur

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    Article de Dave Mihalovic traduit par Ey@el

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    © David Dees

    L'histoire regorge de faits absurdes relatifs à l'incompétence médicale et il est vraisemblable que d'ici quelques décennies, les pratiques actuelles seront perçues de la même manière. Il semble que chaque génération de responsables médicaux soit trop absorbée par son sentiment de supériorité pour être capable de tirer les enseignements du passé ni reconnaître ses agressions répétées du corps humain par ses intentions malavisées de se servir de poisons pour traiter les symptômes. La raison qui décrédibilise la médecine courante dans le cœur et l'esprit des gens n'a rien à voir avec l'absence de progrès scientifique mais tient plutôt à son ignorance pure et simple, enrobée d'une épaisse couche d'insanité. En voici la preuve.

    Les caries sont provoquées par des vers dentaires

    Avant que l'on comprenne ce qui provoquait les caries, les autorités médicales pensèrent tout naturellement que des vers en étaient à l'origine. Ces vers dentaires malfaisants remontent à 5000 avant J.C. Dans l'antiquité, il n'existait aucune explication scientifique aux affections dentaires ni à l'aspect disgracieux provoqué par les caries. Ainsi, sans moyen de justifier comment ces « trous » se formaient dans les dents naquit le génial concept du ver dentaire ! Beaucoup croyaient qu'il creusait une cavité à l'intérieur de la dent pour s'y cacher. La douleur était provoquée par ses contorsions et subsistait au repos. Non, je ne plaisante pas. Le traitement contre le ver dentaire variait selon les cultures et les époques. Autrefois, les médecins étaient persuadés que le nerf de la dent était un ver dentaire ! Une fois la couronne retirée, le nerf en forme de ver était extrait. Chose étonnante, cela a dû soulager certains patients de leur douleur vu qu'une rage de dent se produit généralement lorsque le nerf est affecté par la carie.

    Un médicament effroyable pour perdre du poids

    Dans les années 30, certains médecins prescrivaient du 2,4-dinitrophénol ou DNP1 pour perdre du poids, ce qui modifiait considérablement la manière dont l'organisme utilisait l'énergie. À peine un an après sa mise sur le marché, Tainter2 a estimé qu'au moins 100.000 personnes aux États-Unis, sans compter toutes celles à l'étranger, avaient dû être traitées avec du DNP. Grâce à ce médicament, les patients pouvaient consommer presque n'importe quelle quantité de calories car elles étaient brûlées par les processus métaboliques initiés par le DNP provoquant une rapide consommation d'énergie sans production d'ATP. On avait découvert qu'il augmentait le rythme métabolique de manière significative. Si cela peut sembler la meilleure chose jamais inventée, il y avait toutefois un effet secondaire de taille. Le médicament a été retiré de la vente en 1938 parce que les gens cuisaient de l'intérieur au sens littéral du terme avec une augmentation considérable de la température du corps, du rythme cardiaque et de la sudation qui s'avérait souvent fatale. Il a maintenant été démontré qu'une administration intense de 20 à 50 mg/kg était mortelle pour les êtres humains. Ce médicament est toujours disponible sur les pharmacies en ligne — des gens en consomment encore et cela continue à les tuer.

    Les sirops calmants pour enfants

    La version moderne des calmants pour enfants hyperactifs (ou se comportant normalement comme des enfants) est la Ritaline, un stimulant du système nerveux central provoquant des modifications cérébrales analogues à celles de la cocaïne. Ritaline est le nom commercial donné au méthylphénidate. Bien que son brevet date de 1956, les experts ne savent toujours pas avec exactitude comment il agit. Certains scientifiques ont même suggéré qu'ils stimulerait l'apprentissage. Au XIXe siècle, la Ritaline pour enfant se présentait sous la forme de sirop. Beaucoup ne voulaient pas s'embêter avec une progéniture désobéissante auquel cas les médecins préconisaient une panoplie de « sirops calmants », de pastilles et de poudres, tous formulés avec soin pour y intégrer un maximum de stupéfiants. Ainsi, chaque dose du Sirop calmant de Mme Winslow contenait 65 mg de morphine pure. En 1910, le New York Times décida que tout ce concept de baby-sitting narcotique était probablement néfaste à terme et publia un article signalant que ces fameux sirops contenaient « du sulfate de morphine, du chloroforme, de l'hydrochlorure de morphine, de la codéine, de l'héroïne, de la poudre d'opium, du cannabis indica » et parfois plusieurs de ces ingrédients combinés. Beaucoup d'enfants trouvaient la mort avec ces concoctions qui, de nos jours, suffiraient probablement à terrasser le consommateur de drogue moyen.

    Le dimethylheptylpyran, une marijuana très puissante

    Entre les années 50 et 70, les médecins militaires ont administré du dimethylheptylpyran (DMHP) aux membres de leur service pour apprendre comment cet agent affectait les êtres humains. Il s'agissait d'une molécule de synthèse analogue au THC, le constituant psychoactif de la marijuana, tellement puissante qu'une dose de 1 mg pouvait plonger les soldats dans l'incapacité d'exercer leurs fonctions pendant trois jours. Le DMHP entraînait une sédation et des effets hallucinogènes similaires à de très fortes doses de THC. Toutefois, il provoquait également une forte diminution de la pression artérielle à des doses nettement inférieures à la dose hallucinogène et pouvait induire des étourdissements importants, des évanouissements et une faiblesse musculaire suffisants pour avoir du mal à se tenir debout ou à se livrer à une activité physique intense.

    Les vertus curatives du mercure

    Encore des idées reçues des prétendus experts en médecine de 1500 av. J.C. préconisant l'utilisation du mercure pour traiter à peu près tout et n'importe quoi. Vous vous êtes écorché le genou ? Il suffit d'appliquer un peu de mercure dessus. Vous avez des problèmes de transit ? Oubliez les fibres, il faut prendre du mercure ! Il y a plus de cent ans, vous n'étiez pas considéré comme en bonne santé s'il n'émanait pas des rejets argentés d'au moins un de vos orifices. On se servait du mercure pour « guérir » la syphilis dont le seul mérite était d'éradiquer les porteurs de cette maladie. On s'accorde à croire que Mozart aurait été empoisonné par ces remèdes anti-syphilis à base de mercure ce qui va à l'encontre du film Amadeus dans lequel c'est en quelque sorte le fait de composer trop de musique qui lui aurait été fatal. Nous savons, aujourd'hui, que le mercure est l'un des métaux les plus toxiques au monde. Il n'y a pas de quantité inoffensive sous quelque forme que ce soit et des centaines d'études scientifiques témoignent des effets néfastes du mercure, du merthiolate et de l'éthylmercure chez les enfants. Ce qui est encore plus insensé est qu'en dépit de son interdiction imposée par le FDA3, 60% des vaccins anti-grippaux contiennent toujours de cette neurotoxine mortelle. Les médias grand public et les revues professionnelles continuent de le promouvoir comme étant bénéfique pour la santé. Consultez ces infos, il faut le voir pour le croire.

    Voir la vidéo (en anglais)

    Le médicament anti-marijuana qui peut vous rendre suicidaire

    Les fringales sont un des symptômes les plus connus des fumeurs de marijuana. Des scientifiques se sont dit que s'ils fabriquaient un médicament produisant l'effet inverse sur l'organisme, ils pourraient apaiser la sensation de faim chez les gens. Ainsi est né le Rimonabant qui agit aux mêmes endroits du cerveau que le cannabis en ayant l'effet totalement opposé. Une fois autorisé, il a été prescrit par les médecins pour perdre du poids. Peu après sa mise sur le marché, des articles de presse et des études indépendantes ont suggéré que des effets secondaires se produisaient avec plus d'intensité et dans une fréquence plus grande que ne l'avaient détecté les essais cliniques du fabricant. Les cas de graves dépressions et de pensées suicidaires n'étaient pas rares. En dépit de la connaissance de ses effets indésirables, les médecins continuèrent à prescrire ce médicament qui provoqua de nombreux décès qu'on ne lui imputa jamais directement. En 2007, on rapporte que le comité conseillant le FDA avait voté contre l'approbation de cette drogue en raison des préoccupations concernant le taux de suicide, de dépression et autres effets secondaires liés à son utilisation.

    Calmez votre toux avec de l'héroïne

    À la fin du XIXe siècle, les médecins prenaient la suppression de la toux apparemment très au sérieux au point d'aller jusqu'à prescrire de l'héroïne pour la calmer. Héroïne qui, au demeurant, fut initialement élaborée par Bayer qui la commercialisa en 1895 — vous savez, ces gens sympas à l'origine de cette bonne vieille aspirine inoffensive. Bayer qui s'appelait autrefois IG Farben, ce conglomérat pharmaceutique et chimique accusé d'avoir parrainé les expériences des tortionnaires nazis. Il n'y a pas mieux comme société pour produire des anti-douleurs qu'un ancien sponsor des camps de torture nazis.

    Vous êtes un peu somnambule ? Aucun souci, prenez du Zolpidem et vous conduirez en dormant !

    L'Ambien, un médicament disponible uniquement sur ordonnance et le somnifère le plus vendu aux États-Unis il y a tout juste dix ans, ressortait régulièrement comme facteur dans les arrestations pour infractions routières, impliquant parfois des conducteurs qui affirmèrent, après coup, avoir conduit en état de somnambulisme et n'avoir aucun souvenir d'avoir pris le volant après son absorption. Dans certains laboratoires de toxicologie fédéraux, Ambien arrivait en tête de liste des 10 drogues dépistées chez les automobilistes en état d'ébriété. 26,5 millions d'ordonnances ont été délivrées rien qu'en 2005. Sanofi-Aventis, le fabricant de l'Ambien et Melissa Feltmann, leur porte-parole du moment n'ont rien trouvé de mieux à dire que « nous sommes au courant de ces rapports faisant état de personnes conduisant en état de somnambulisme dont certains nous ont été fournis par l'Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux dans le cadre de l'évaluation post-commerciale de la sécurité de nos produits à laquelle nous procédons actuellement. » Mes amis, s'il vous faut davantage de preuves de la folie pure du FDA, de Big Pharma et des médecins pratiquants, c'est sans espoir.

    On endormait les femmes pour les faire accoucher

    Après la Seconde Guerre mondiale et jusque dans les années 70, aux États-Unis (et dans d'innombrables autres pays à travers le monde), on administrait un anesthésique aux femmes qui accouchaient pour les endormir pendant qu'elles mettaient leurs enfants au monde. Comme elles étaient dans l'impossibilité d'expulser leur bébé, le médecin utilisait des forceps — des espèces de grosses cuillères en métal — sur sa tête pour le faire sortir. La  plupart des femmes enceintes de nos jours frémiraient à l'idée d'un tel procédé mais c'était très courant à l'époque et accepté pour la majorité des accouchements. On ne se posait aucune question car c'était la norme.

    La saignée

    La saignée fut l'une des pratiques médicales dont la popularité a toujours été immense et persistante dans l'histoire. Elle nous vient des Grecs et continua à être utilisée jusqu'au XIXe siècle pour pratiquement tout. Le savoir médical de l'époque présumait que si vous souffriez d'une affection, il y avait une bonne probabilité pour que vous ayez également... trop de sang. De nos jours, cela semble aussi absurde qu'une personne qui respirerait trop d'air mais c'est ainsi que les « experts médicaux » de jadis pensaient pouvoir traiter et prévenir les maladies. Essentiellement, la théorie supposait que l'organisme était rempli de quatre fluides (le sang, le flegme, la bile jaune et la bile noire4) qu'on appelait les humeurs et que tout déséquilibre de l'un était la cause de toutes les affections. « Saigner » un patient pour lui faire recouvrer la santé s'inspirait du processus de la menstruation. Hippocrate croyait que les règles servaient à « purger les femmes de leurs mauvaises humeurs ». Pendant l'Empire romain, le médecin grec Galien qui adhérait aux enseignements d'Hippocrate, prônait la saignée sous assistance médicale. Il créa un système complexe pour calculer la quantité de sang à retirer en se fondant sur l'âge du patient, sa constitution, la saison, la météo et le lieu. Suite à quoi, on mit au point des instructions pour « effectuer soi-même » des saignées.

    La trépanation

    La trépanation est un grand mot pour les trous que l'on vous perce dans la tête. Il s'agit en fait de l'opération chirurgicale la plus ancienne pratiquée sur les êtres humains. De tous temps, elle fut le traitement le plus utilisé contre les convulsions, les migraines et les troubles mentaux. Et quoi de si surprenant que le fait de se faire percer des trous béants dans le crâne (souvent sans anesthésie) ne contribua guère à soulager les gens de leurs maux de tête ou de leurs problèmes cérébraux. Bien qu'il s'agisse d'une pseudo-science, elle est toujours pratiquée à ce jour, à d'autres prétendues fins médicales, par une poignée d'individus exceptionnels. L'auto-trépanation la plus notoire est celle que propose le Dr Bart Hugues, qui a apparemment fait des études de médecine (pourquoi cela ne me surprend-t-il pas ?) en affirmant que cela provoque une augmentation du « volume sanguin dans le cerveau », améliorant ainsi son métabolisme au même titre que certains vasodilatateurs cérébraux comme le gingko biloba.

    La circoncision

    La grande majorité des hommes de par le monde — ce qui inclut la plupart des Européens et des Scandinaves — ne sont pas circoncis. Et avant 1900, la circoncision était pour ainsi dire non-existente aux États-Unis également, à l'exception des Juifs et des Musulmans qui y ont recours depuis des milliers d'années pour des motifs religieux. Croyez-le ou non, cette pratique a été introduite dans les pays anglophones à la fin des années 1800 pour contrôler et empêcher la masturbation de façon comparable à la préconisation de la circoncision chez les femmes — par le retrait du clitoris et des lèvres — toujours en vigueur dans certains pays musulmans et africains afin de réprimer la sexualité féminine. Une des principales raisons qui font choisir aux gens de faire circoncir leur enfant est l'avis de leur médecin selon lequel un pénis non circoncis est pratiquement impossible à nettoyer. Ce qui est également faux. Et ils font l'erreur de penser qu'ils ont besoin de rétracter le prépuce par souci d'hygiène. Ce n'est pas vrai. En fait, le décalotter avant terme provoque des adhérences et des infections. Parfois il ne se rétracte pas de lui-même avant que le garçon ne soit plus âgé. Souvent, il n'y a aucune ouverture entre le gland et le prépuce et il peut être doucement repoussé vers l'âge de deux-trois ans mais l'enfant le fera naturellement de lui-même sans qu'un parent ait besoin de le forcer. C'est à ce moment-là uniquement qu'il sera nécessaire de le nettoyer et vous pourrez montrer à votre fils comment procéder. Des chercheurs et des statisticiens ont mis en place toutes sortes d'études afin de tenter de valider des mythes au sujet de la circoncision qui n'ont jamais été prouvés. Même si près de 80% des garçons américains nés entre les années 70 et 80 ont été circoncis, ce nombre est tombé à 62,5% en 1999 puis à 54,7% en 2010 et se trouve désormais sous la barre des 50%. Cette chute est surtout due à l'information des parents plutôt qu'aux diminutions des prises en charge de la circoncision par les assurances maladie. Dans les milieux officiels, on estime que 40% de petits américains en moins auront été circoncis en 2013 en comparaison avec les précédentes décennies.

    La chimiothérapie et la radiothérapie

    C'est à se demander dans quelle réalité nous vivons quand les seuls moyens acceptables de traiter un cancer sont l'ablation, l'empoisonnement ou la brûlure. La thérapie anti-cancer moderne s'inscrit très bien dans les méthodes insensées de traitements médicaux présentées ci-dessus. L'industrie du cancer détruit et marginalise les solutions saines et efficaces tout en préconisant ses remèdes brevetés, onéreux et toxiques qui font plus de mal que de bien. Aucun produit de chimiothérapie n'a jamais guéri ni résolu les causes sous-jacentes d'un cancer. Même ces traitements que la médecine officielle considère comme « efficaces » ne font que gérer les symptômes, en interférant habituellement avec d'autres fonctions physiologiques précieuses au détriment du patient et produisant des effets secondaires à terme. La chimiothérapie présente quantité de conséquences néfastes à postériori ; la plupart de ses agents pénètrent dans le cerveau, pouvant directement ou indirectement entrainer un certain nombre de modifications immédiates ou à retardement du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années puis se dissiper ou, lorsqu'il s'agit de jeunes enfants, avoir des répercussions à l'âge adulte. Les médicaments chimiothérapeutiques (en particulier les agents alkylants) sont reconnus pour provoquer d'autres cancers dont la leucémie. Les agents alkylants endommagent directement l'ADN de toutes les cellules et ne ciblent aucune phase ; en d'autres termes, ils agissent sur toutes les phases du cycle cellulaire. En altérant l'ADN, ces substances peuvent causer, par la suite, des dégâts à la moelle épinière et par conséquent affecter l'immunité à long terme. La radiothérapie peut elle aussi accroître le risque de développer un cancer chez la plupart des individus. Les types qu'on lui attribue sont nombreux mais concernent surtout la leucémie et les sarcomes. Ces cas évoluent en général sur plusieurs années après l'exposition aux rayons, le pic se situant à environ cinq ans. Là encore, la plupart des patients ayant recours à la radiothérapie contractent des cancers secondaires liés au traitement et non à une recidive de l'original. Le taux de cancers induits par les radiations a explosé au cours des deux dernières décennies depuis qu'elle a pris de l'ampleur, généralement pour venir complémenter la chimiothérapie.

    La vaccination

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    © David Dees

    L'introduction d'ADN étranger, de tissus animaux (c-à-d. du porc, du cheval, du lapin), d'embryons de poussin, de formaldéhyde, de sérum bovin, de mercure, de phénoxyéthanol (antigel), de GMS (glutamate monosodique), de tissus fœtaux humains avortés, de cellules rénales de singe, de neurotoxines, d'immunotoxines et d'agents cancérigènes rendant stériles qu'on injecte directement dans le corps OU connus autrement sous le nom de « vaccins » sera sans doute considérée, à l'avenir, comme la pratique médicale la plus destructrice depuis toujours. Les générations futures verront en nos médécins actuels les plus irresponsables de tous les praticiens pseudo-scientifiques sous l'influence d'une médecine reposant sur des données incorrectes et une absence de preuves. Une grande part de l'endoctrinement relatif à la vaccination découle de mythes datant de plusieurs siècles. Il existe des preuves irréfutables qui démontrent que son utilisation historique n'a eu aucun bénéfice sanitaire ni d'impact sur la prévention des maladies infectieuses. Il y certainement de quoi s'interroger sur les contributions des mesures médicales sur le déclin de la mortalité. Deux siècles de statistiques officielles indiquent clairement que les vaccins n'ont pas préservé la race humaine des maladies. Les véritables avancées obtenues en 200 ans sont le fait d'une meilleure alimentation et d'une eau potable plus pure. L'amélioration des conditions d'hygiène, de promiscuité et des conditions de vie en général ont également joué un rôle. Le Centre pour le contrôle des maladies (CDC) a admis dernièrement que plus de 98 millions d'Américains avaient reçu une ou plusieurs doses de vaccin anti-polio en l'espace de huit ans de 1955 à 1963 alors même qu'une partie avait été contaminée par le virus cancérigène du polyome, le SV40. Une publication récente dans les Annales de la médecine a mis en exergue la nature frauduleuse de vaccins tels que celui contre le virus du papillome humain (HPV). Cette science fallacieuse et l'essor des maladies liées sont désormais répertoriés dans des livres, des revues et des rapports dont beaucoup recoupent entièrement les données sur la manière dont la toxicité synergique affecte les nourrissons et les enfants en bas âge. Les vaccins sont également à l'origine de mutations pouvant mettre en péril la santé des générations à venir. Les éléments prouvant la toxicité de cette pratique se multiplient en se répandant à travers le monde et il y a fort à parier qu'un jour la vaccination sera abolie et perçue comme un renvoi de plus aux pratiques sanitaires (ou devrais-je dire insalubres) les plus insensées de tous les temps.

    À propos de l'auteur

    Dave Mihalovic est médécin naturopathe spécialisé dans la recherche vaccinale, la prévention du cancer et l'approche naturelle des traitements.

    Traduit de l'anglais par Ey@el
    © lapensinemutine.eklablog.com

    Notes et références

    1. ^ Le 2,4-dinitrophénol (DNP) est un poison du métabolisme cellulaire qui découple la phosphorylation oxydative en transportant les protons à travers la membrane mitochondriale, ce qui conduit à une augmentation rapide de la consommation d’oxygène en parallèle d'une faible formation d’ ATP — la molécule qui, dans la biochimie de tous les organismes vivants connus, fournit par hydrolyse l'énergie nécessaire aux réactions chimiques du métabolisme. (Wikipédia)
    2. ^ Joseph Tainter est un anthropologue et un historien américain auteur de L'Effondrement des sociétés complexes.
    3. ^ Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux.
    4. ^ Le flegme désignait les mucosités et la bile noire les selles liquides.
    5. Sources de l'article : www.nytimes.com, www.cracked.com, www.listverse.com, www.preventdisease.com.

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    1
    Lundi 24 Mars 2014 à 12:39

    Pour le champagne j'ai cherché les méfaits pour la santé mais tous les manuels

    me disent "aucune contre indication.

    2
    Lundi 24 Mars 2014 à 20:22

    Ah, mais le champagne c'est très bon contre les maux de tête et la déprime (si on n'abuse pas) :lol: Vive les petites bulles !

    3
    Mardi 25 Mars 2014 à 14:18
    4
    Mardi 25 Mars 2014 à 20:43

    Merci pour cet or en bulles...  :))
    Mais Ô fête, on célèbre quoi au juste ?

    5
    Samedi 29 Mars 2014 à 10:23

    Vous êtes trop romantique les femmes !

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    6
    Mdmeux
    Jeudi 28 Juillet 2016 à 18:08
    Ahem, le dmhp était développé comme arme incapacitante donc il a rien a faire dans ce classement
      • Jeudi 28 Juillet 2016 à 19:43

        Je ne comprends pas ce commentaire. Les propriétés incapacitantes du DMHP sont bien mentionnées par l'auteur (je ne suis que la traductrice) et il ne s'agit nullement d'un classement mais d'un récapitulatif de toutes les aberrations médicales.

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