• Six technologies apocalyptiques dont la plupart des gens n'ont encore jamais entendu parler

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    Article de Michael Snyder traduit par Ey@el

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    Êtes-vous prêt pour l'avenir ? Nous vivons une époque où les avancées technologiques s'effectuent à un rythme effréné. Aujourd'hui, les scientifiques mettent rapidement au point de nouvelles techniques insolites auxquelles, il y a encore quelques décennies, la plupart des écrivains de science-fiction n'auraient jamais pu songer. Par exemple, seriez-vous prêt à vous débarrasser de votre carte bancaire pour vous mettre à régler vos dépenses en présentant juste votre visage ?

    Seriez-vous d'accord pour permettre à une société technologique d'insérer une large puce informatique ou bien des milliers d'infiniment plus petites (« poussières neurales ») dans votre cerveau ? Ce sont-là quelques-unes des techniques à venir. Notre monde se transforme à une vitesse époustouflante et pour être honnête, aucun d'entre nous ne sait à quoi il ressemblera d'ici une dizaine d'années.

    Souvenez-vous, une décennie plus tôt, Facebook n'existait pas et il y a cinq ans, les iPad non plus. Notre planète est en train de subir une métamorphose profonde à mesure que nos scientifiques rendent possible « l'impossible ».

    Voici six technologies apocalyptiques dont la plupart des gens n'ont encore jamais entendu parler...

    1. Un logiciel de reconnaissance faciale pour remplacer les cartes bancaires

    Les gens règleront-ils leurs dépenses en exposant leur visage à un scanner lors du passage en caisse ? Cela peut sembler absurde mais selon le Daily Mail, une société finlandaise aurait déjà lancé cette technologie...

    On remplace déjà les cartes bancaires par des téléphones et des bracelets avec monétique intégrée mais c'est votre visage qui pourrait finir par mettre en danger ce petit bout de plastique dans votre poche.

    Une start-up finlandaise du nom de Uniqul a lancé ce qu'elle qualifie de première plateforme de paiement jamais réalisée basée sur la reconnaissance faciale.

    Ce système ne requiert aucun portefeuille ni carte bancaire ou téléphone — juste une caméra installée en caisse qui prend une photo du visage de chaque client au moment de régler sa note.

    Une base de données sera ensuite passée en revue pour y retrouver le visage et les détails de paiement mémorisés qui lui correspondent afin de pouvoir effectuer la transaction.

    2. Les techniques de reconnaissance faciale sont déjà utilisées dans certains points de vente et pour l'affichage publicitaire numérique

    Vous vous souvenez de ces panneaux d'affichage dans le film Minority Report qui avaient recours à la reconnaissance faciale pour scanner les visages et générer des publicités adéquates ? Personnellement, je n'aurais jamais pensé voir cela de mon vivant mais, en réalité, une société du nom d'Amscreen dispose déjà de 6000 écrans numériques qui utilisent ce genre de technologie. En fait, leurs écrans publicitaires sont déjà exposés au regard de 50 millions de personnes...

    Le réseau publicitaire Amscreen vient de lancer une technique de reconnaissance faciale sans précédent, initialement développée par la firme Quividi, spécialisée dans les mesures d'audience automatiques.

    Des caméras ont été installées dans les panneaux d'affichage de la société afin de pouvoir scanner le visage des personnes et déterminer leur sexe, leur age, la date, l'heure et leur nombre afin de mieux cibler les publicités en fonction du public.

    Amscreen dispose déjà de plus de 6000 écrans numériques vus chaque semaine par plus de 50 millions de personnes.

    Et selon la NPR1, ce type de reconnaissance faciale est désormais en application dans certains commerces de détail afin d'identifier les personnes importantes.

    C'est précisément cette non-reconnaissance que les techniques d'identification des dignitaires conçues à cet effet sont censées empêcher.

    Cette société installée au Royaume-Uni fournit déjà des logiciels équivalents aux services de sécurité pour les aider à identifier les terroristes et les criminels. Cette technique de reconnaissance faciale consiste à analyser des séquences de visages filmés à l'entrée d'un bâtiment, à prendre des mesures pour générer un code numérique appelé « gabarit facial » et les comparer ensuite à une base de données.

    Dans le milieu de la vente au détail, ces renseignements concerneront les célébrités et les clients importants comme on l'entend à Londres. Lorsqu'un visage sera détectée, le programme préviendra le personnel sur leur ordinateur, iPad ou smartphone en leur fournissant des détails tels que la taille, les préférences ou les habitudes d'achat de cette personne.

    3. Google veut insérer une puce dans notre cerveau ?

    Autoriseriez-vous une société technologique à vous insérer une puce dans le cerveau ? Selon un article paru récemment dans un grand journal britannique, c'est apparemment ce que les dirigeants de Google pensent qu'il se produira un jour...

    Tout commença, il y a juste quinze ans, avec un service qui permettait de saisir une requête dans un ordinateur personnel pour obtenir des liens vers des sites Internet en rapport. Les choses ont plutôt progressé. Google espère bientôt se rendre omniprésent tel un assistant personnel qui ne cesserait jamais de travailler et capable de converser naturellement en n'importe quelle langue. À terme, comme l'affirment ses fondateurs [Larry] Page et Sergey Brin, le but est d'insérer une puce dans votre tête pour disposer du moteur de recherche le plus « naturel » qu'on puisse imaginer.

    En fait, après un passage récent chez Google, le journaliste à l'origine de l'article sus-mentionné rapporte que Ben Gomes, vice-président de la recherche chez Google, lui aurait tenu ces propos...

    Où tout cela nous mènera-t-il ? Gomes convient qu'une puce insérée dans le cerveau n'a rien d'un rêve de science-fiction. « On commence déjà à faire des expérience sur les handicapés pour leur permettre de diriger leur fauteuil roulant », explique-t-il. « On arrive à les faire orienter les fauteuils mais il y a encore du chemin pour ce qui est des commandes vocales. Nous devons apporter une amélioration considérable au niveau du cerveau pour rendre l'interaction possible. Nous sommes impatients d'y parvenir mais des pans de technologie restent encore à développer. »

    4. Le Pentagone est en train de développer un « robot exterminateur » répondant au nom d'Atlas

    Saviez-vous que les militaires américains construisaient des robots ?

    Bon d'accord, ils n'ont encore rien de Terminator mais apparemment ils deviennent rapidement de plus en plus perfectionnés...

    ATLAS mesure 1m87 pour 150kg. L'objectif premier serait de le faire participer à des opérations de secours notamment dans des situations où l'intervention humaine pourrait s'avérer fatale ou tout bonnement impossible. Boston Dynamics, le constructeur du corps d'ATLAS affirme que ce robot est suffisamment robuste et coordonné pour pouvoir grimper en se servant de ses mains et de ses pieds et également se frayer un chemin à travers des espaces encombrés. Les personnes commissionnées pour travailler sur le robot ont pour mission de le programmer à interagir de la manière la plus efficace possible. La DARPA2 a diffusé une vidéo qui montre comment ATLAS parvient à se déplacer, à éviter des obstacles, à supporter une force brutale au niveau du torse et même à gravir des escaliers.

    Alors, à mesure que ces robots deviendront de plus en plus sophistiqués, y aura-t-il des limites quant à l'usage qu'en feront les militaires américains ? Dans un article récent, le Washington Post brossait un tableau effrayant...

    Mais qu'est-ce qui empêchera les militaires américains d'utiliser ces mêmes robots indestructibles, qui peuvent franchir des décombres, manipuler des outils complexes et pénétrer dans des immeubles en flammes, dans des scénarios totalement différents ? Ils pourraient, par exemple, avancer à travers des zones de combat jonchées de débris, manipuler des armes et pourchasser des terroristes au cas par cas. En d'autres termes, le Défi Robotique de la DARPA (DRC) pourrait entraîner la création d'un véritable Terminator.

    5. Faire léviter et déplacer de petits objets uniquement à l'aide d'ondes sonores

    Saviez-vous qu'il était possible de faire léviter et de déplacer de petits objets rien qu'avec de ondes courtes ? Voyez donc ce qu'une équipe scientifique suisse vient de découvrir...

    Une équipe de chercheurs en Suisse a mis au point une méthode pour faire léviter et transporter de petits objets en n'utilisant rien d'autre que des sons. En se servant d'ondes ultrasoniques — c'est-à-dire des ondes sonores dont la fréquence est trop élevée pour être perçue par l'oreille humaine — les scientifiques de l'Institut fédéral suisse de technologie à Zurich ont pu suspendre en l'air, déplacer le long d'un plan et faire interagir entre eux divers objets tels que des gouttes d'eau, des cristaux de café soluble, des flocons de polystyrène et un cure-dent. C'est la première fois qu'une équipe parvient à utiliser le son pour faire léviter simultanément plusieurs d'objets à une distance proche et les déplacer.

    6. Poussières neurales ultrasoniques

    C'est sans doute la technologie la plus terrifiante de cette liste. Les avancées observées dans le domaine de la nanotechnologie au cours de ces dix dernières années sont absolument époustouflantes. Certains scientifiques disent être désormais en mesure d'insérer des milliers de minuscules petites puces informatiques dans nos têtes. Ce qui suit provient d'un article récent du Time Magazine...

    Voici comment cela pourrait fonctionner : vous traverseriez d'abord le crâne et la dure-mère (la membrane qui entoure le cerveau), plongeriez dans la mer neurale du cerveau-même à environ deux millimètres où vous mettriez en place des milliers de puces CMOS basse-tension (les « poussières neurales » donc la taille est de l'ordre du millionième de mètre) qui capteraient les signaux des neurones à l'aide d'électrodes et de de capteurs piézoélectriques3 pour ensuite convertir ces données en signaux ultrasoniques.

    Lesquels seraient alors réceptionnés par un transmetteur sous-dural (reposant juste au-dessus des « poussières » et alimentant ces dernières simultanément en ultrasons), qui relayerait les données vers un transmetteur externe situé à l'extérieur du crâne (émetteur longue portée alimenté par une pile avec mémoire à canaux ioniques sensible à l'acidité4) et qui à son tour communiquerait sans fil avec n'importe quel dispositif informatique.

    Comme la plupart des concepts futuristes, celui-ci n'a pas encore été testé — il ne s'agit que d'une proposition officielle — mais il fournit un aperçu fascinant de ce que nous réserve l'avenir, en court-circuitant, au sens propre, les connecteurs cérébraux des interfaces cerveau-machine manquant de souplesse au profit de micro-interfaces qui nous relieraient, via une technologie sans fil, aux futures galaxies de l'information virtuelle.

    Si beaucoup de ces techniques peuvent sembler très excitantes, en réalité il est essentiel de se rappeler que toute technologie est une arme à double tranchant et peut être mise au service du bien comme du mal.

    Et il ne fait aucun doute, à l'époque où nous vivons, que la grille de surveillance de Big Brother que l'on édifie autour de nous est en train de se resserrer rapidement.

    Je pense qu'il est important de prendre du recul pour comprendre combien la vie a changé au cours des décennies passées. Nous disposions de bien plus de libertés qu'aujourd'hui. Prenons les exemples ci-dessous issus d'un article récent posté dans le Economic Policy Journal...

    En 1975 :

    1. On pouvait acheter un billet d'avion et voyager n'importe où sans jamais montrer de pièce d'identité.

    2. On pouvait acheter du sirop pour la toux sans montrer de pièce d'identité.

    3. On pouvait acheter et vendre des pièces d'or sans montrer de pièce d'identité.

    4. On pouvait acheter une arme à feu sans montrer de pièce d'identité.

    5. On pouvait retirer autant de liquide de son compte en banque sans que la banque le signale au gouvernement.

    6. On pouvait décrocher un emploi sans avoir besoin de prouver que l'on était américain.

    7. On pouvait acheter des cigarettes sans montrer de pièce d'identité.

    8. On pouvait converser au téléphone sans que le gouvernement sache qui vous aviez appelé ou qui vous avait appelé.

    9. On pouvait ouvrir un compte d'actions sans avoir à expliquer la provenance de cet argent.

    10. On pouvait ouvrir un compte en Suisse sans difficulté. Toutes les banques helvétiques étaient ravies et disposées à accueillir les Américains.

    Oui, la technologie de reconnaissance faciale pourrait être d'une grande utilité mais finirons-nous par être obligés de nous faire scanner le visage partout où nous irons ?

    Oui, les robots pourraient servir à à faire beaucoup de grandes choses mais les gouvernements du monde entier finiront-ils par déployer des armées de « robots tueurs » contre nous tous et contre les uns les autres ?

    Une vision de votre avenir : commander une pizza en 2015 façon NSA

    Les progrès technologiques ne signifient pas pour autant que notre vie à venir sera meilleure. Par exemple, la vidéo ci-dessous, postée il y a peu sur shftplan.com, imagine à quoi pourrait ressembler une commande de pizza en l'an 2015...

    — Palais de la Pizza : des pizzas chaudes garanties livrées en 30 minutes chrono sinon vous ne payez rien. Je m'appelle Mary, puis-je prendre votre commande ?
    — Bonjour Mary ! Oui, j'aimerais passer une commande...
    — Vous êtes M. Kelly ?
    — Heu, oui.
    — Merci de nous appeler à nouveau, Monsieur. Je vois que votre numéro d'identification national est le 6102049998-45-54610, c'est bien cela ?
    — Heu, oui...
    — Merci, M. Kelly. Je vois que vous habitez au 736 Montrose Court mais vous nous appelez depuis votre téléphone portable. Êtes-vous chez vous ?
    — Heu, je suis sur le point de quitter mon travail mais je...
    — Oh, nous pouvons vous livrer chez Bob, fournisseur en pièces automobiles au 175 Lincoln Avenue, c'est bien cela ?
    — NON ! Je suis en chemin pour rentrer chez moi ! Mais comment vous savez tout ça ?
    — Nous avons été reliés directement au système, monsieur.
    — Oh... Et bien, je voudrais commander deux de vos pizzas spéciales avec double portion de viande.
    — C'est entendu mais il y aura une nouvelle taxe de 20$ sur ces produits, monsieur.
    — Que voulez-vous dire ?
    — Monsieur, le système nous informe que votre dossier médical indique que vous souffrez d'hypertension avec un taux très élevé de cholestérol. Par chance, nous avons passé un accord avec votre assurance médicale qui nous permet de vous vendre des tourtes à la viande si vous renoncez à toute réclamation future engageant notre responsabilité.
    — QUOI ?
    — Vous êtes d'accord, monsieur ? Vous pourrez remplir ce formulaire à la livraison mais il y aura des frais supplémentaires pour le traitement. Le montant total à payer sera de 67$ tout compris.
    — SOIXANTE-SEPT DOLLARS ?
    — Cela inclut le supplément de 15$ pour la livraison qui couvre le risque supplémentaire encouru par notre chauffeur pour se rendre en zone orange.
    — J'habite en zone orange ?
    — Maintenant, oui. Il semblerait qu'il y ait eu un cambriolage sur Montrose, hier. Hum... vous pourriez faire une économie de 48$ en commandant notre assortiment spécial d'algues marines germées et en passant le récupérer vous-même. Il est fourni avec des bâtons de tofu qui sont vraiment délicieux, monsieur, et d'un bon rapport qualité-prix également.
    — Mais je veux mes doubles portions de viande !
    — Alors, je suis certaine que vous pourrez vous permettre de débourser 67$ dans ce cas. Vous venez d'acheter des billets pour Hawaï qui n'étaient pas donnés, hein ? Oh... mais je vois que vous avez emprunté La Plage économique du clodo à la bibliothèque la semaine dernière. Hum... C'est à vous de voir, monsieur.
    — C'est bon, c'est bon, je vais prendre les algues germées.
    — Bon choix, monsieur. Il faut surveiller votre tour de taille si vous comptez faire de la plage, hein ? 107 centimètres... waouh ! On dirait que le tofu et les algues sont de rigueur.
    — ÇA FERA COMBIEN ?
    — Que cela reste entre nous, il y a un coupon de réduction de 3$ dans le dernier numéro de "La forme physique complète au masculin". Votre femme Betty y est bien abonnée, n'est-ce pas ? Quoi qu'il en soit, cela fera 19,99$ tout compris. Waouh, on dirait que vous avez dépassé les limites de toutes vos cartes de crédit. Apportez du liquide, d'accord ?

    Transcrit et traduit de l'anglais par Ey@el
    © lapensinemutine.eklablog.com

    Oui, c'est très drôle mais cela souligne un problème sérieux.

    On se sert de plus en plus de la technologie pour observer, pister, surveiller et contrôler ce que nous faisons. À mesure que ce réseau se resserre, nous risquons de ne pas apprécier la manière dont il aura transformé nos vies.

    C'est pourquoi il est essentiel que la société lance un débat sérieux à propos de la vie privée et de nos libertés tant que cela est encore possible.

    Si nous n'instaurons pas de limites à l'utilisation de ces technologies dès à présent, nous pourrions finir un jour par le regretter amèrement.

    Traduit de l'anglais par Ey@el
    © lapensinemutine.eklablog.com

    Notes et références

    1. ^ La NPR, anciennement National Public Radio, est la principale radio non commerciale des États-Unis. C'est une organisation de droit privé, à but non lucratif, qui fédère des radios locales et vend des programmes aux radios membres.
    2. ^ La DARPA (agence pour les projets de recherche avancée de défense) est une organisation du ministère de la défense américain chargée de la recherche et du développement des nouvelles technologies destinées à un usage militaire.
    3. ^ La piézoélectricité (du grec piézein presser, appuyer) est la propriété que possèdent certains corps de se polariser électriquement sous l’action d’une contrainte mécanique et réciproquement de se déformer lorsqu’on leur applique un champ électrique. Les deux effets sont indissociables.
    4. ^ Les canaux ioniques sensibles à l'acidité (ASIC en anglais) sont des canaux cationiques neuronaux insensibles au voltage activés par des protons extracellulaires. En clair : un canal ionique est une protéine membranaire qui permet le passage à grande vitesse d'un ou plusieurs ions. Par ailleurs, les ions sont des espèces chimiques (composées d'un ou de plusieurs atomes) non neutres, portant une charge électrique positive ou négative selon qu'elles ont cédé ou gagné un ou plusieurs électrons (particules qui tournent autour du noyau de l'atome). Ici il s'agit de membranes cationiques donc à charge négative attirant des cations comme l'hydronium (H3O+) que l'on trouve dans toute solution acide.

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 2 Février 2014 à 15:53

    "Faire léviter et déplacer de petits objets"

    Tu aurais pu nous léviter celle-ci ... :-)

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    2
    Dimanche 2 Février 2014 à 18:43

    Quoi t'as de petits objets auxquels tu tiens et t'as peur qu'en écoutant de la musique, ils s'envolent ailleurs ?

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