• Contrôle mental et Nouvel Ordre Mondial

    Article de Len Kasten traduit par Hélios

    Available in English

    Comme promis, suite au billet sur les paroles de la chanson "MK Ultra" de Muse, voici un article sur la question, complet et non biaisé comme le sont souvent les sujets tendancieux sur Wikipédia, soupçonné d'appartenir à la CIA. Lors de sa publication sur le Bistro Bar Blog, Hélios prévenait ses lecteurs que son contenu était susceptible de choquer. Donc, âmes sensibles s'abstenir...

    Ey@el

    Le 28 novembre 1953 à 2h du matin, un homme traversa une fenêtre fermée et s'écrasa dix étages plus bas devant le Statler Hotel de New York. On l'identifia comme Franck Olson, bactériologiste du centre de recherche de l'armée américaine de Fort Detrick, dans le Maryland. Il était tombé d'une chambre qu'il partageait avec un autre scientifique, Robert Lashbrook. On conclut à un suicide.

    En 1975, 22 ans après, William Colby, directeur à l'époque de la CIA, leva le secret sur des documents qui révélèrent la complexité de l'affaire. Il fut mis au jour qu'Olson était en réalité un agent secret de la CIA de Fort Detrick, et qu'une semaine avant sa mort, il avait bu un Cointreau lors d'une conférence de haut niveau à Deep Creek dans la campagne du Maryland avec des scientifiques. Une grosse dose de LSD avait été mélangée au Cointreau par son patron de la CIA, Sidney Gottlieb. On l'envoya ensuite à New York avec Lashbrook, qui faisait aussi partie de la CIA, voir un psychiatre parce que le LSD avait entraîné une psychose.

    Il fut également révélé qu'Olson avait fait partie d'un programme top secret de la CIA connu comme le projet MK-ULTRA, qui explorait l'usage de produits chimiques et de drogues à des fins de contrôle mental, et d'agents bactériologiques pour des assassinats clandestins. Olson avait travaillé sur les moyens de répandre l'anthrax sous forme d'aérosols, à utiliser comme arme. Une nouvelle preuve mise en lumière, grâce aux efforts persistants du fils d'Olson, Éric, rendait le suicide hautement suspect.

    Il s'avéra qu'Olson avait été étiqueté comme risque pour la sécurité par les services secrets britanniques après avoir été témoin d'expériences sur des humains qui le bouleversèrent, lors d'un voyage à Francfort en Allemagne l'été précédent. Éric Olson pense aujourd'hui que son père a été drogué et ensuite assassiné pour s'assurer qu'il ne révélerait pas les secrets du projet MK-ULTRA. Suite aux révélations de 1975, le gouvernement dut se sentir plus que coupable de l'affaire, car on accorda à la famille d'Olson une audience de 17 minutes avec le président américain Ford, qui leur présenta des excuses et ils reçurent des dédommagements d'un montant de 750.000 dollars.

    Le contrôle du comportement humain

    Le programme MK-ULTRA fut institué le 13 avril 1953 par le directeur de la CIA Allen Dulles, apparemment pour contrer les techniques de lavage de cerveau sur les prisonniers américains détenus par les nord-coréens pendant la guerre de Corée et pour reproduire ces techniques sur des prisonniers ennemis, c'est à dire créer des « candidats mandchouriens (ou mandchou) ». C'est ce qui était prétendu afin d'obtenir des fonds pour le projet. Cependant le programme de lavage de cerveau des prisonniers de guerre n'était que le sommet de l'iceberg et des expériences supervisées par la CIA furent menées à grande échelle dans les domaines du contrôle mental sous l'égide du MK-ULTRA, expériences qui n'avaient peu ou rien à voir avec des méthodes d'interrogatoire.

    Les révélations de Colby faisaient partie d'une considérable enquête de la CIA de janvier 1975 faite par la Commission des Activités de la CIA au sein des États-Unis, présidée par le vice-président Nelson Rockefeller. Le rapport pour le président qui en sortit en juin 1975 expliquait :

    Le programme de drogues faisait partie d'un programme beaucoup plus vaste pour étudier les moyens capables de contrôler le comportement humain. D'autres études exploraient les effets des radiations, des électro-chocs, de la psychologie, de la psychiatrie, de la sociologie et des substances pénalisantes.

    Bien que le programme prit un départ laborieux avec l'affaire Olson, il se rétablit rapidement et devint un projet de parrainage pour 149 sous-projets. Le principe directeur global était succinctement exposé dans une note interne de la CIA datée de janvier 1952 :

    Pouvons-nous obtenir le contrôle d'un individu au point tel qu'il se soumettrait contre sa volonté et même contre les lois naturelles comme l’auto-préservation ?

    Le programme de drogues se fit de 1951 à 1956 sous l'égide de la division chimique de l'équipe des services techniques dirigée par Sidney Gottlieb. Gottlieb était un excentrique très intelligent qui buvait du lait de chèvre, aimait les danses folkloriques et faisait pousser des sapins de Noël dans sa ferme à côté de Washington.

    L'Agence finança les programmes de recherche sur le LSD dans des centres médicaux et des universités importantes dont l'hôpital psychiatrique de Boston, l'hôpital du Mt Sinaï de l'université de Colombie, la faculté de médecine de l'Illinois, l'université d'Oklahoma et bien d'autres. Le financement était réalisé en secret par la fondation Josiah Macy et le fond Geschickter pour la recherche médicale à Washington D.C. La CIA prétendait que le secret était nécessaire pour ne pas mettre au courant les russes, mais nous avons déjà vu que cela faisait partie d'un projet beaucoup plus important pour apprendre à contrôler le comportement humain en général, ce n'est donc pas crédible.

    Gottlieb expliqua au Dr Harold Abramson de Mt Sinaï (qui était justement le psychiatre qu'Olson était supposé voir!) qu'il voulait « du matériel opérationnel pertinent » [concernant] :

    1. la perturbation de la mémoire ;
    2. une dévalorisation par comportement aberrant ;
    3. une altération des modèles sexuels ;
    4. du soutirage d'information ;
    5. une suggestibilité ;
    6. une création de dépendance.

    Cela ressemblait à un truc plutôt du style espionnage. Ils avaient vraiment peur de la réaction du public et d'une condamnation par le congrès, surtout parce que la charte de la CIA n'autorisait pas des opérations privées et interdisait avec certitude toute expérience sur des citoyens américains.

    Le durcissement de la recherche est très bien illustré par le travail financé par la CIA du Dr Harris Isbell, directeur du centre de recherche sur les addictions de Lexington, dans le Kentucky. Des détenus de cet hôpital, pour la plupart noirs, furent encouragés à se porter volontaires pour une recherche sur le LSD en échange de drogues dures de leur choix ou d'un raccourcissement de leur temps de peine. Dans la plupart des cas, on leur donna de la morphine pure ou de l'héroïne. À une époque, Isbell garda sept hommes sous LSD pendant 77 jours d'affilée. De nombreux autres y furent pendant plus de 42 jours.

    Concernant l'usage étendu du LSD, John Marks dans son livre qui fait date À la recherche du candidat mandchou : la CIA et le contrôle mental dit de l'écrivain Hunter S. Thompson (récemment décédé) qu'il « effrayait ses lecteurs avec ses récits de défonce au LSD qui durait quelques jours, durant lesquels Thompson sentait son cerveau se ratatiner au soleil, ses nerfs comme enveloppés de fils barbelés et ses facultés ramenées à leurs antécédents reptiliens ». Le récent film The Rum Diary (en français Rhum Express, sorti fin 2011), avec Johnny Depp, basé sur le livre autobiographique de Hunter S. Thompson, présente une adaptation de ses aventures sous LSD.

    La CIA met en marche le non-conformisme

    Non satisfait de la recherche universitaire, Gottlieb recruta un agent des narcotiques de New York, George White, pour distribuer subrepticement du LSD dans les "milieux marginaux". Opérant dans des centres d'hébergement de Greenwich Village, White donna des doses à des prostituées, des proxénètes, des accro à la drogue et autres "marginaux" et observa ensuite les résultats qu'il rapporta à Gottlieb.

    John Marks affirme que c'étaient des gens « qui seraient incapables de chercher à se venger d'une quelconque manière s'ils apprenaient un jour ce que la CIA leur avait fait. En plus de leur peu probable envie de dénonciation, de telles personnes vivaient dans un monde où une dose involontaire d'une quelconque drogue... représentait de toutes façons les risques du métier ».

    White finit par l'utiliser au hasard dans tout New York et San Francisco. À propos des résultats, Marks raconte, « Les scientifiques du MK-ULTRA ne récoltèrent que des catastrophes, des délits et de la déception dans leurs efforts d'utiliser du LSD comme arme miracle contre les cerveaux de leurs adversaires ». Ils poursuivirent pourtant ce programme pendant 10 ans jusqu'en 1963.

    Ironiquement, comme la CIA s'était accaparée le marché international du LSD, raflant toute la production de Sandoz, la propagation de la drogue qui contribua au non-conformisme se fit par l'Agence. Voilà comment le "Power Flower" (les hippies) devint psychédélique.

    Mais les expériences de LSD ont pu avoir plus de succès que ce Marks reconnut. Les effets précis sur la chimie du cerveau étaient notés soigneusement de même que les six domaines qui revenaient à Gottlieb : les perturbations sur la mémoire, le comportement aberrant, les modèles sexuels déformés, le soutirage d'information, la suggestibilité et la création d'une dépendance. Cela devint évident quand ils commencèrent à utiliser le LSD comme une adjonction aux expériences d'hypnose et d'électronique.

    Remodelage du cerveau

    Le sous-projet peut-être le plus connu et le plus abominable du MK-ULTRA fut réalisé à l'institut Allan Memorial de Montréal au Canada sous la direction du Dr Donald Ewen Cameron, un américain d'Albany, état de New York. Cameron avait fait ses classes à l'hôpital royal psychiatrique de Glasgow en Écosse, avec l'eugéniste Sir David Henderson, et avait fondé la branche canadienne de la fédération mondiale de la santé mentale. À des époques diverses, il fut élu président d'associations de psychiatrie canadiennes, américaines et mondiales. En d'autres mots, Cameron n'était pas un renégat, mais avait la pleine confiance et l'approbation de l'establishment psychiatrique mondial.

    La CIA voulait que Cameron "démodélise" le contenu du cerveau pour le rendre réceptif à un nouveau modèle. David Remnick dans un article du Washington Post du 28 juillet 1985, écrivait :

    Le ...cœur du laboratoire c'était la chambre électrifiée... Le sujet était sanglé de force sur une chaise, sa tête était hérissée d'électrodes et de capteurs. Aucune résistance n'était rencontrée avec une dose paralysante de curare. Les ondes cérébrales du sujet étaient transmises vers une chambre proche bondée d'analystes de la voix, à un enregistreur et à des récepteurs radio bricolés... L'annihilation systématique ou "démodélisation" du mental et de la mémoire du sujet était accomplie avec des surdoses de LSD, un sommeil aux barbituriques de 65 jours d'affilée et des électrochocs à 75 fois la dose recommandée. Un guidage psychique, la répétition d'un message enregistré pendant 16 heures par jour, programmaient le cerveau vide. Les patients fragiles envoyés à l'Allen Memorial étaient ainsi transformés en méduses gélatineuses.

    Anton Chaitkin dans son essai, Psychiatrie britannique : de l'eugénisme à l'assassinat, confie :

    Des patients perdirent tout ou partie de leurs souvenirs, et certains la capacité de contrôler leurs fonctions corporelles et de parler. Une patiente au moins fut presque réduite à l'état de légume ; puis Cameron fit enlever chirurgicalement les centres de cognition de son cerveau, tout en la gardant en vie. Certains sujets furent envoyés en permanence dans des centres pour malades inguérissables.

    La CIA finança ces horreurs sous le couvert de La Société pour investigation de l'écologie humaine. D'autres parrainages de l'Institut Allen arrivèrent par la fondation Rockefeller, la fondation Geschikter et le gouvernement canadien.

    À propos du travail de Cameron dans Wikipédia :

    Naomi Klein explique dans son livre La stratégie du choc, que la recherche de Cameron et sa contribution au projet MK-ULTRA ne concernait pas en réalité le contrôle mental et le lavage de cerveau, mais la création d'un système basé scientifiquement sur l'extraction d'informations de "sources résistantes".

    En d'autres mots, des tortures. Et citant le livre d'Alfred W. McCoy, Wikipédia écrit plus loin que :

    Dépouillé de ses excès bizarres, les expériences de Cameron, se basant sur les précédentes découvertes de Donald O. Hebb, ont préparé la base scientifique de la méthode en deux étapes de torture psychologique de la CIA. Cette méthode fut codifiée avec le tristement célèbre Manuel d'interrogatoire KUBARK de contre-espionnage publié par la CIA en juillet 1963, et dans le Manuel d'entraînement à l'exploitation des ressources humaines de 1983 qui a servi pour les cours d'entraînement de la CIA dans les pays d'Amérique latine jusqu'en 1987. Ces manuels décrivent les méthodes de torture psychologique, bien plus puissantes que la torture physique, pour soutirer les informations des "sources résistantes".

    Cauchemar orwellien

    Comme on s'y attendrait, les technologies disponibles aujourd'hui pour les contrôleurs du mental ont largement dépassé un stade où le monde de George Orwell d'omni-surveillance semble maintenant presque désuet. Bien sûr il est vrai que 1984 date de 28 ans. Mais même en remontant en 1970, le congressiste James Scheur pouvait dire :

    Grâce aux retombées médicales, à celles de la recherche militaires aérospatiale et industrielle, nous sommes aujourd'hui en voie de développer des appareils et des produits capables de contrôler de violentes manifestations de populace sans aucun blessé. Nous pouvons tranquilliser, ralentir, immobiliser, harceler, choquer, renverser, créer une narcose, flanquer la nausée, refroidir, aveugler temporairement, rendre sourd ou juste effrayer purement et simplement les esprits de tous ceux que la police doit contrôler et restreindre correctement.

    Un bref survol de certains des produits les plus effrayants qui existent dans l'arsenal de l'abécédaire secret des agences contre monsieur-tout-le-monde, avec par exemple un appareil comme le Neurophone, breveté par le Dr Patrick Flanagan en 1968. Il convertit un son en impulsions électriques qui peut être envoyé par satellites. Quand il est envoyé vers des individus, les impulsions voyagent directement vers le cerveau où les sons se réassemblent et semblent être des voix à l'intérieur de la tête, qui peuvent être perçues comme venant de Dieu, ou d'extra-terrestres par télépathie ou de qui que ce soit d'autre. Ou bien les sons peuvent provenir d'une TV ou d'une radio éteintes. L'appareil peut à l'aide d'un logiciel mimer la voix de n'importe qui et la traduire en n'importe quelle langue.

    On pense que la CIA, la DIA (Defense Intelligence Agency), la NSA (National Security Agency) et compagnie, utilisent le Neurophone pour envoyer des menaces et de la propagande à des cibles sélectionnées, ou juste tourmenter quelqu'un qu'ils n'aiment pas. On peut imaginer les possibilités. Cela pourrait-il expliquer certains meurtres par des "psychopathes" qui disent avoir reçu un ordre de Dieu, comme Mark David Chapman (assassin de John Lennon, NdT), David Berkowitz (tueur en série des années 70) ou Sirhan Sirhan (assassin de Bob Kennedy, frère de JFK) ? S'ils avaient été évalués auparavant par des études de personnalité sophistiquées et préparés par LSD ou hypnose, de telles voix pouvaient aisément faire pencher la balance et les convaincre d'assassinat.

    Nous avons tous entendu parler de "Police de la pensée" et rigolé car cela semblait non plausible. Hé bien, nous sommes les dindons de la farce. La technologie du scannage du cerveau est aujourd'hui bien avancée. En 1974, Lawrence Pinneo, neurophysiologiste et ingénieur en électronique au Stanford Research Institute a réussi à corréler des schémas d'ondes cérébrales d'un EEG (électroencéphalogramme) à des mots spécifiques. En 1994, les schémas d'ondes cérébrales de 40 sujets ont été officiellement corrélées à des mots parlés ainsi qu'à des pensées silencieuses à l'université du Missouri. On pense que les agences d'espionnage américaines possèdent aujourd'hui un vocabulaire d'ondes cérébrales de plus de 60.000 mots dans la plupart des langages courants.

    Les ondes cérébrales constituent un champ magnétique autour de la tête (l'aura), unique à chaque personne, signature électromagnétique identifiable qui devient visible par la photographie Kirlian et ces champs peuvent être suivis par satellites. Les résultats traduits sont ensuite renvoyés à des super ordinateurs au sol à des vitesses de plus de 20 gigaoctets/seconde. Les messages par Neurophone peuvent alors être envoyés par rayons vers des individus choisis en se basant sur leurs pensées. On estime qu'environ un million de personnes autour du globe sont actuellement suivies régulièrement. Avec l'augmentation de ces chiffres, ce qui arrivera certainement, pour inclure une majorité de gens éduqués et importants du monde, le NWO sera définitivement arrivé.

    Comme l'a observé l'écrivain australien Paul Baird :

    Personne ne sera plus capable de simplement penser pour exprimer une opinion contraire à celle du NWO. Il n'y aura littéralement pas de propriété intellectuelle qui ne puisse être volée, aucun écrit qui ne puisse être censuré, aucune pensée qui ne puisse être supprimée (par les moyens les plus oppressifs et invasifs).

    Baird prétend aussi que d'ex-dénonciateurs de l'espionnage militaire ont rapporté que des expériences de contrôle des votes ont été tentées par ces techniques dans plusieurs pays étrangers. Autant pour la démocratie.

    D'autres technologies, comme le bombardement par micro-ondes pour rendre confus et désorienter le champ personnel, l'implantation de puces, les messages subliminaux acoustiques envoyés silencieusement, le contrôle à grande échelle de la population par drogues psychiatriques, sont toutes bien développées et en usage dans les agences militaires et d'espionnage. Ici n'est même pas abordée la surveillance du matériel parlé et écrit. En vertu du projet ECHELON, la NSA surveille tout appel, fax, email et messages des données informatiques dans et à l'extérieur des US, le Canada et plusieurs autres pays. Leurs ordinateurs recherchent alors des mots et des phrases-clé. Quelque chose ou quelqu'un d'intéressant attire l'attention des opérateurs d'agence, qui peuvent ensuite commencer des opérations de surveillance par la NSA ou autres agences d'espionnage.

    De nouvelles capacités

    Nous concluons avec une vision glaçante de l'avenir, tirée d'un comité consultatif scientifique de l'US Air Force. Elle provient de Panorama du nouveau monde de la force aérienne et spatiale pour le XXIème siècle.

    Avant le milieu du XXIème siècle, il y aura une explosion virtuelle de connaissances dans le domaine de la neuroscience. Nous aurons réalisé une compréhension nette de la manière dont fonctionne le cerveau humain, comment il contrôle réellement les diverses fonctions du corps et comment il peut être manipulé (aussi bien en positif qu'en négatif). On peut envisager le développement de sources d'énergie électromagnétique, dont l'émission peut être rythmée, formatée et concentrée, qui peut se coupler au corps humain d'une manière qui autorisera l'arrêt des mouvements de la musculature volontaire de quelqu'un, contrôler les émotions (et donc les actes), produire le sommeil, transmettre des suggestions, interférer avec la mémoire tant à court qu'à long terme, produire un ensemble d'expériences et annuler un ensemble d'expériences. Cela ouvrira la porte au développement de capacités nouvelles qui peuvent servir lors de conflits armés, dans des situations de terrorisme et de prises d'otages, et dans les entraînements...

    Et en se basant sur les abus passés clandestins du MK-ULTRA évoqués ci-dessus, on peut prédire avec une relative certitude que ces capacités seront utilisées sur des civils, avec ou sans leur consentement, pour servir le Nouvel Ordre Mondial.

    Traduit de l'anglais par Hélios
    © bistrobarblog.blogspot.fr

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  • Commentaires

    1
    Jeudi 18 Novembre 2021 à 17:52

    Sur le site Canadien "ici.tout.tv" un documentaire a été diffusé le 13/10/2021 intitulé "MK-Ultra: la fin du silence". J'ai pu voir ce docu via un VPN car il n'est pas autorisé en France. Il dure 53mn et vraiment intéressant.

    https://ici.tou.tv/mk-ultra-la-fin-du-silence/S01E01

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