• Greta Thunberg cherche à vous faire peur et cela va rapporter gros aux grandes multinationales (1)

    Article d'Arjun Walia traduit par Ey@el

    Available in English

    Encore un très long article qui m'aura pris plusieurs jours à traduire (certains moins consciencieux et plus soucieux de faire du chiffre, s'embêtent moins que moi et se servent d'un logiciel de traduction — j'ai testé pour voir, une horreur ! — mais je ne fonctionne pas ainsi, je mets beaucoup de moi-même pour rendre ces lectures fluides et agréables et je me sentirais vraiment trop mal de vous proposer un travail bâclé). Afin de le rendre plus digeste, j'ai décidé de le scinder en deux, donc si vous n'aimez pas le principe, je vous invite à attendre la parution de la seconde partie, dans quelques jours, afin de le lire en un seul tenant.

    Et pour les visiteurs de passage, adeptes de la pensée unique et de la lecture en diagonale, qui seraient tentés de s'en tenir uniquement aux apparences voire me coller une étiquette d'ennemie de la planète (sic) sans même chercher à creuser (et dieu sait qu'ils sont légion, ce qui, à mon humble avis, constitue en soi la véritable catastrophe imminente qui menace cette planète), je me contenterai de copier-coller un extrait de la conclusion de cet article (à découvrir en deuxième partie) qui résume parfaitement ma position personnelle :

    Nous ne nions pas les changements climatiques, nous ne faisons qu'exposer les preuves qui montrent qu'ils existent depuis longtemps et que les émissions humaines de CO2 ne semblent pas du tout y jouer un rôle significatif, servant plutôt de prétexte au profit, au contrôle et à retirer encore plus de « pouvoir » aux gens pour le remettre entre les mains des politiciens et de l'élite financière mondiale.  Cela n'a rien à voir avec la planète.

    À ces personnes, je ne dirai pas non plus ce qu'elles pourraient découvrir par elles-mêmes en se donnant la peine de fouiner un peu (plutôt que de gaspiller autant d'énergie à dénigrer sur la base d'idées préconçues et infondées), à savoir que je fais probablement bien plus pour la planète à mon humble niveau individuel qu'elles-mêmes qui passent leur temps à donner des leçons aux autres. Si l'on dressait un bilan carbone entre eux et moi, je ne suis pas sûre que leur ego serait ravi de la comparaison ! Heureusement, on n'en est pas là — enfin, MOI je n'en suis pas là — j'ai bien assez à gérer mon propre ego qui, même s'il est mieux élevé, n'en est pas moins casse-quelque chose  parfois ;)

    Mais pour revenir au thème qui nous intéresse, comme le souligne avec justesse Tatiana Ventôse dans une vidéo intitulée "Ce qui cloche avec Greta Thunberg", nous sommes en droit de nous interroger sur le nombre de faits étranges « dans le parcours de la jeune fille, dans la manière et la vitesse à laquelle elle s'est retrouvée catapultée dans ce rôle de Cassandre qui nous prédit de sommet en sommet qu'on va tous crever si on ne panique pas [...] Nous aurait-elle été vendue fabriquée comme un produit marketing à destination de personnes véritablement inquiètes du changement climatique ? »

    Tatiana explique encore qu'elle est allée voir les commentaires sous les articles parlant de Greta Thunberg :

    Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle pose quand même question à beaucoup de monde. Ce serait trop facile de répondre à ça en disant « Oui, ceux qui critiquent Greta Thunberg, ce sont des rageux insultants et des climato-sceptiques ! ». Parce que des postes insultants, oui, il y en a (on est sur Internet !) mais j'ai surtout vu des commentaires du type « pauvre gamine, parents irresponsables qui instrumentalisent une enfant malade ».

    Ce que j'ai lu relevait plus du doute qu'autre chose, et pas tant du doute sur la réalité de la crise environnementale ni même sur la sincérité de Greta dans son activisme, mais du doute sur la manière dont cette gamine s'est retrouvée, comme par magie, invitée d'un coup à tous les sommets internationaux sur le climat à faire de beaux discours et à se faire prendre en photo avec les pires ennemis de la planète.

    Ne manquez pas également les deux autres vidéos que Tatiana a publiées sur la récupération politique des questions environnementales :

    - Greta Thunberg - L'hystérie a remplacé le débat
    - La stratégie Macron pour récupérer l'écologie (décryptage)

    Et pour rester dans la thématique du climat qui semble s'imposer comme leitmotiv à toutes mes publications du mois, je vous donnerai rendez-vous ensuite pour d'autres articles apparentés à paraître dans les prochains jours.

    Ey@el

    Eva Bartlett a passé des années sur le terrain à couvrir les zones de conflit au Moyen-Orient, en particulier la Syrie et la Palestine occupée où elle a vécu presque quatre ans, ce qui a fait d'elle l'une des journalistes les plus renommées au monde. En allant faire un tour sur son compte Twitter, on découvre des messages qui donnent matière à réflexion et peuvent réellement nous aider à mieux comprendre ce qui se passe sur cette planète, en particulier pour tout ce qui a trait à la géopolitique.

    Ses postes sont lourdement censurés par les géants des réseaux sociaux et les moteurs de recherche comme Google parce l'information délivrée y est tout l'opposé des récits falsifiés déversés en permanence par les médias grand public à la demande de leurs marionnettistes, dont les agences de renseignement occidentales. Prenons l'exemple de la Syrie vu que bon nombre de ses publications mettent sur le devant de la scène des chaînes comme CNN et la BBC qui rapportent et répandent des informations complètement fausses. Elle étaye ses tweets de preuves et de sources crédibles, sans parler du fait qu'elle se rend directement sur les lieux de ses reportages.

    Elle n'est pas la seule. Plusieurs initiés ont rejoint la quête de vérité. Comme par exemple, William Arkin, ce journaliste militaire et correspondant de guerre réputé, mieux connu pour sa série révolutionnaire en trois parties dans le Washington Post en 2010, qui a révélé publiquement que NBC/MSNBC étaient des agences complètement factices dirigées par le gouvernement. Vous trouverez plus de détails ICI (en anglais).

    Commentaires sur Greta Thunberg

    Et puis il y a Riam Dalati, un célèbre producteur de la BBC en Syrie qui a récemment issu un tweet déclarant que les présumés attentats au gaz à Douma étaient des « mises en scène ». Pour plus de détails, c'est ICI (en anglais). Elle tranche dans le vif, c'est pourquoi c'était agréable de tomber sur certains de ses récents tweets et retweets exprimant son point de vue sur Greta Thunberg, la jeune militante pour le climat.

    Elle retweete un poste d'Ollie Richardson du 25 septembre qui correspond à ses expériences :

    Veuillez me pardonner de ne pas me « soucier » du climat. C'est parce qu'il n'y a pas un seul jour où je ne sois pas confronté à des images et vidéos d'enfants de Donbass qui essaient de survivre en dépit de la décision consciente de l'Occident de leur balancer des bombes.

    Un autre de Corey Morningstar explique comment ce mouvement a en fait été orchestré par des forces puissantes, avec cette brève chronologie d'événements :

    Mai 2018 : une téléconférence dirigée par un représentant anti- énergies fossiles de 350/fossil et du projet pour la réalité climatique (ONG d'Al Gore) propose une grande marche pour le climat. Greta Thunberg répond à cet appel ainsi que d'autres comme il s'avère.

    Mai 2018 : Rentzhog entre en contact avec la mère de Greta (Malena Ernman) lors d'une conférence.

    Juin 2018 : On crée des comptes pour Thunberg sur les réseaux sociaux.

    Août 2018 : Greta est assise sur un trottoir. Ingmar Rentzhog, PDG de We Don't Have Time (Nous n'avons pas le temps) découvre « la jeune fille solitaire ».

    Peu après ces tweets, Eva Barlett est montée au créneau en retweetant ceci :

    Sans doute @GretaThunberg devrait-elle prendre en compte les enfants yéménites privés d'éducation en raison des agressions saoudiennes soutenues par les États-Unis qui tuent/font mourir de faim des millions de personnes. Des enfants se font massacrer par des armes interdites fatales pour l'environnement si cela est suffisamment pertinent pour que tu t'en soucies.

    Puis cet autre :

    Chère #GretaThunberg, si tu veux savoir à quoi ressemble une enfance volée, il faut que tu parles aux enfants d'Afghanistan, du Yémen, de Syrie, de Libye ou de Donbass dont l'enfance est détruite par les exactions du plus grand pollueur au monde : le #Pentagon.

    Et pour finir, Bartlett tweete au sujet d'un article qu'elle qualifie d'« opportun » et de « bien écrit ». Il s'agit d'une publication de RT du mois dernier intitulée "Greta Thunberg cherche à vous faire peur et cela va rapporter gros aux grandes multinationales" dont est extraite cette perle :

    Depuis son arrivée sur le devant de la scène après avoir organisé des débrayages scolaires dans sa Suède natale l'an dernier, Thunberg a fait la tournée internationale éclair des coulisses du pouvoir. Apparue sur les forums économiques, aux Chambres du Parlement et plus récemment au Capitole, le contenu de ses discours est toujours le même : ce que nous faisons pour la planète n'est pas assez bien et la fin est proche.

    « Je veux que vous fassiez comme s'il y avait le feu » lançait-elle, au mois de janvier, à Davos, à ceux qui font la pluie et le beau temps dans l'économie mondiale, les intimant à éprouver la même crainte qu'elle au quotidien. « Nous n'avons sans doute même plus d'avenir » déclarait-elle en avril aux législateurs britanniques. Il en va ainsi à chacune de ses apparitions, ses annonces de fin du monde soigneusement relayées par les médias du monde entier.

    Son discours basé sur les émotions et sur la peur a soulevé les critiques d'experts en climatologie, de politiciens et de commentateurs conservateurs. Alors que, la semaine dernière, Thunberg demandait au Congrès d'« écouter les scientifiques », même ceux du groupe d'experts intergouvernemental des Nations unies sur l'évolution du climat ont appuyé sur la pédale de frein, l'un d'entre eux arguant que les élévations de température qu'elle prévoyait n'allaient tout simplement « pas prendre des allures d'Armageddon pour une grande majorité des adolescents aujourd'hui en grève ».

    Putin donne son avis

    Ce type de sentiment est partagé par bon nombre de ceux qui se sont penchés de près sur la politique du changement climatique comme Vladimir Putin, par exemple, qui a exprimé son opinon à propos de Greta :

    Je vais probablement vous décevoir mais je ne partage pas l'enthousiasme général au sujet du discours de Greta Thunberg. Vous savez, le fait que des jeunes gens, des adolescents se sentent concernés par les graves problèmes du monde moderne dont l'écologie, c'est excellent et pertinent. Nous devons les soutenir. Mais lorsque quelqu'un se sert d'enfants et d'adolescents pour son propre intérêt, c'est tout à fait condamnable.

    « Je suis sûr que Greta est une jeune fille gentille et sincère » ajoute Putin. (source)

    Vladimir Putin s'est montré très critique à l'égard des « pouvoirs en place » sur un certain nombre de points, prétendant qu'ils créent des menaces « imaginaires » et relevant du « mythe » pour justifier leurs agissements immoraux. Il affirme, par exemple, que « l'alliance militaire occidentale a créé et armé des groupes terroristes dont les actes de cruauté ont poussé des millions de civils à fuir, provoqué le déracinement de millions de personnes et de migrants, et plongé des régions entières dans le chaos » (source). C'est pour cette raison que l'actuel candidat démocrate aux présidentielles Tulsi Gabbard a créé une loi anti-armement pour que le gouvernement américain cesse de financer des organisations terroristes.

    Le CO2 et les grandes multinationales

    Le lien entre le CO2 et climat a été établi depuis pas mal de temps. (source)

    En 1988, James Hansen, un scientifique de la NASA, a annoncé au Sénat américain que la chaleur estivale reflétée augmentait les niveaux de dioxyde de carbone. Même le magazine Science a rapporté le scepticisme des climatologues :

    La raison pour laquelle nous considérons désormais cette position comme un dogme est à cause des acteurs politiques et compagnie qui cherchent à exploiter les opportunités de plusieurs milliards de dollars offertes par le secteur de l'énergie. Maurice Strong est l'un de ceux qui en a bénéficié. Bureaucrate international et affairiste (ayant passé ses dernières années en Chine, apparemment pour tenter d'éviter d'être poursuivi pour son rôle dans les scandales du programme Pétrole contre nourriture de l'ONU), Strong s'est vu fréquemment attribuer l'initiative du mouvement contre le réchauffement climatique au début des années 80 et a ensuite contribué à l'organisation de la conférence de Rio qui donna lieu à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. D'autres comme Olaf Palme et son ami Bert Bolin, qui fut le premier président du groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, ont également été impliqués dès le début des années 70.

    ~ Dr Richard Lindzenphysicien de l'atmosphère avec plus de 200 articles et ouvrages scientifiques à son actif, professeur de météorologie à l'institut de technologie Alfred P. Sloan du Massachussetts et actuellement auteur principal du chapitre 7 intitulé "Processus et répercussions climatiques physiques" du troisième rapport d'évaluation du changement climatique du groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. (source)

    Le « New Deal » vert (mouvement Sunrise) est déjà en passe d'être adopté aux États-Unis, 104 membres du congrès et trois des quatre favoris aux primaires démocrates l'an prochain l'ayant déjà approuvé. Cette législation promet de réduire les émissions carbone à zéro d'ici 2050 et confère au gouvernement une part importante de contrôle sur la santé, la redistribution des richesses, le transport, la production alimentaire et le logement. Ce mouvement trouve son origine au sein de l'élite financière, né d'une poignée d'experts et de financiers néo-libéraux.

    Constitué l'an dernier par le président français Emmanuel Macron et la société d’investissement BlackRock, le partenariat financier pour le climat envisage la réduction des émissions carbone financée par l'état comme un « véhicule fer de lance d'investissement de capitaux mixtes ». Salivant à l'idée des profits potentiels sur les marchés internationaux  « en pleine croissance et émergence », le partenariat appelle au « déblocage » des fonds de pension et des caisses gouvernementales pour financer l'industrie verte dans le monde en développement. Mais au lieu de qualifier la situation planétaire d' « urgence climatique », il parlent d'« opportunité climatique ».

    Le groupe hybride d'action financière — constitué de 50 géants de la finance dont HSBC, JP Morgan Chase et Citi — est encore plus explicite et demande « une couche de capitaux d'origines gouvernementale et philanthropique » car il y a « du profit à faire » dans « les secteurs liés au changement climatique [...] sur trois zones incluant l'Amérique latine, l'Asie et l'Afrique ».

    En clair, les géants de la finance veulent que vos pensions et vos impôts soutiennent leurs investissements à l'autre bout du monde. Greta Thunberg et le mouvement pour l'urgence climatique vous saisissent d'effroi, servant ainsi sciemment ou involontairement les intérêts des ultrariches de ce monde. (source)

    Tout cela n'a rien à voir avec la planète mais avec l'argent, point barre. Le changement climatique, c'est la même chose que se servir de la « guerre contre le terrorisme » pour susciter le patriotisme et amener la population à accepter des mesures à son encontre et non à son avantage. Ces histoires de « peur » sont complètement bidon. On a eu droit à la même chose avec Al-Qaeda :

    En vérité, il n'y a pas d'armée islamique ni de groupe terroriste appelé Al-Qaeda et tout agent du renseignement éclairé sait cela. Mais, il y a une campagne de propagande pour faire croire au public à la réalité d'une entité renforcée incarnant le « diable » aux seules fins d'amener les téléspectateurs à accepter une direction internationale unifiée pour une guerre contre le terrorisme. Ce sont les États-Unis qui sont à l'origine de cette propagande. (source)

    L'utilisation d'enfants

    D'une certaine manière, il semblerait que le recours à des enfants rende l'imposture encore plus flagrante comme nous l'explique Maximilian C. Forte :

    Les enfants représentent tout ce qui est pur, innocent et vrai, et les filles apportent cette touche supplémentaire de vulnérabilité et de nécessité, à savoir le besoin impérieux d'être secourues. Dans le rôle similaire de celle qui allume une bougie sur la voie de l'hystérie collective dans l'intention de stimuler une réaction massive (comme Greta), il y a eu au moins neuf autres jeunes filles depuis 1990.

    (1) La célèbre Nayirah al-Saba qui a témoigné à l'ONU, en 1990, sur cette infâme histoire totalement inventée de « bébés dans des couveuses » assassinés par les forces armées irakiennes au Koweït.

    (2) Severn Cullis-Suzuki, une autre jeune fille intervenue au sommet pour l'environnement de Rio organisé par l'ONU, dans ce qui semble être le modèle repris quasiment mot pour mot par Greta Thunberg.

    (3) Malala Yousafzai qui est devenue la figure emblématique justifiant en quelque sorte l'occupation de l'Afghanistan et l'intervention des États-Unis au Pakistan, célébrée par le département d'État américain.

    (4) Bana Alabed, la marionnette syrienne devenue célèbre grâce à son compte Twitter, la chérie des impérialistes qui a servi d'ange du changement de régime du côté des terroristes étrangers — voir Eva Bartlett pour une analyse approfondie (en anglais).

    (5) Et maintenant Greta Thunberg, propulsée sur la scène internationale en déclarant que l'extinction massive a déjà commencé, une Cassandre qui profitera à certains investisseurs bien placés.

    (6) Et n'oublions pas toute une série d'autres jeunes filles emblématiques à la une des magazines Time et National Geographic comme Sharbat Gula, la célèbre « jeune fille afghane » dont la photo servit à appuyer le soutien américain à la résistance afghane contre les soviétiques (un investissement avec retour qui a fait ses preuves).

    (7) Ou plus récemment, Aïsha, utilisée comme motif pour soutenir l'occupation américaine continue de l'Afghanistan. Une fille pour s'opposer à l'occupation de l'Afghanistan, une autre pour promouvoir son occupation.

    Le rapport Rockefeller

    Dans les années 80, le Rockefeller Brothers Fund devint la seule autorité de l'agenda du réchauffement climatique. Le fond philanthropique des frères Rockefeller se targue d'être l'un des premiers grands activistes internationaux, invoquant son vif plaidoyer en faveur de la constitution du groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) en 1988 et de la création de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en 1992.

    L'élite mondiale a toujours profité d'une manière ou d'une autre des crises comme nous l'avons vu à maintes reprises avec les guerres.

    Ce qui importe, toutefois, est de reconnaître le rôle de la famille Rockefeller — qui fut, par le passé, l'architecte des grands groupes pétroliers — dans le soutien au débat sur le changement climatique aussi bien que le financement des scientifiques, écologistes et ONG impliqués dans l'activisme populaire contre « Big Oil » et l'industrie des énergies fossiles.

    Le débat sur le climat mondial est d'importance cruciale. Mais qui le contrôle ?

    Il y a un rapport contradictoire manifeste : « Big Oil » a beau être dans la ligne de mire de l'action militante contre le réchauffement climatique, c'est lui qui, par le biais de la famille Rockefeller et de ses fondations, finance le mouvement mondial de protestation pour le climat. Demandez-vous pourquoi.

    ~ Michel Chossudovsky, économiste canadien et professeur émérite d'économie à l'université d'Ottawa (source)

    Vous pourrez accéder au rapport complet (en anglais) ICI. Il a été publié en 2016 par l'institut légal pour l'énergie et l'environnement.

    À suivre : deuxième partie à paraître prochainement

    Traduit de l'anglais par Ey@el
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