• La NASA confesse l'administration de lithium et autres subtances chimiques aéroportées aux Américains

    Article de Christina Sarich traduit par Ey@el

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    Officiellement, rien n'explique pour pourquoi la NASA vaporise du lithium (un produit pharmaceutique souvent utilisé pour traiter les patients maniaco-dépressifs ou bipolaires) dans la ionosphère à part ce que l'on peut imaginer. Il serait plus simple d'accepter la version officielle si l'agence spatiale américaine ne maintenait pas le secret absolu sur toutes ses études et agissements dans l'espace — mais une chose est sûre, ses propres employés ont reconnu que du lithium ainsi que d'autres substances étaient délibérément et régulièrement introduits dans notre environnement. Il est possible que bon nombre des personnes travaillant pour la NASA n'aient absolument pas conscience des motivations véritables derrière la mise en œuvre d'un tel projet, adoptant paradoxalement les comportements mêmes censés être instillés par ces substances chimiques/pharmaceutiques.

    Dans une première vidéo explosive, un employé de l'agence reconnaît la pulvérisation de lithium dans l'atmosphère, ajoutant que c'est « sans danger pour l'environnement ».

    Avant de vous fournir la version officielle justifiant l'arrosage de centaines de milliers d'Américains avec des psychotropes, j'aimerais vous fournir quelques liens de référence afin que vous puissiez mener vos propres recherches et vous rendre compte qu'il ne s'agit nullement d'une théorie du complot. Tout ceci est bien réel et vous trouverez ci-dessous un vaste corpus de documents scientifiques corroborant mes dires (tous ces liens sont bien entendu en anglais et la liste complète est à retrouver sur la page originale de cet article — N.d.T.).

    Un abrégé de Pub Med intitulé "Feasibility of Aerosol Vaccinations in Humans" (Faisabilité de la vaccination par aérosol chez les humains) expose les avantages d'un accroissement des quantités d'antigènes dans l'administration des vaccins par pulvérisation et comment on pourrait s'en servir dans « les pays en voie de développement et les zones sinistrées ». Y est reconnue également l’inoculation effective de plusieurs milliers de sujets humains par des vaccins aérosols constitués de souches vivantes atténuées des virus de la rougeole et de la grippe A. Ledit résumé analytique affirme en outre que ce type de vaccination serait idéal pour les « populations nombreuses » et qu'on y aurait apparemment recours depuis 2003.

    Un autre débat sur le même sujet est consultable dans le New England Journal of Medicine. "A Randomized, Controlled Trial of Aerosolized Vaccines Against Measles" (Un essai contrôlé randomisé avec des vaccins aérosols anti-rougeole) explique comment ces vaccins ont été testés, en Inde, sur des enfants âgés de minimum 9 mois.

    L'OMS étudie ce type d'inoculation depuis des années maintenant tout comme d'autres agences « philanthropes » visant clairement à stériliser la population. Notons également que l'industrie pharmaceutique a été exonérée de toute responsabilité dans le traitement massif des populations depuis un décret Congrès de 1986 leur accordant l'immunité légale. Loi qui fut contestée mais maintenue par la Cour suprême des États-Unis en 2011. De nombreuses organisations au bras long cherchent à s'assurer que nous « prenions bien nos médicaments ».

    En fait, beaucoup de nations participent, à notre insu, à cette vaccination forcée et au déversement sur nos têtes de n'importe quel virus atténué, concoction chimique et autres « chemtrails » avec une persistance acharnée.

    Le Bureau de réglementation de la technologie génétique (OGTR) a même envisagé de répondre favorablement à une demande de licence de PaxVax Australia (PaxVax) pour le déversement intentionnel d'un vaccin OGM composé de bactéries vivantes dans l'environnement dans les territoires du Queensland, Victoria et le sud et l'ouest de l'Australie. Ils avaient prévu d'inoculer le choléra à leur population.

    D'après l'OGTR, ledit vaccin se qualifiait à titre de libération limitée et contrôlée en vertu de l'article 50A de la loi australienne de l'an 2000 sur les technologies génétiques.

    On ne peut évidemment pas oublier les États-Unis. Michael Greenwood y a publié un article stipulant que :

    Selon une étude menée par l'École de santé publique de Yale et les services de santé de Californie, l'incidence de cas d'infection par le virus du Nil occidental peut être considérablement réduite par une pulvérisation aérienne à grand échelle ciblant les moustiques adultes.

    J'espère donc que nous avons réussi à démontrer que ces faits sont bien réels. Mais pourquoi ?

    À mesure que des nations de plus en plus nombreuses refusent les aliments génétiquement modifiés et l'adjonction de fluor à leur eau potable — lequel a été déclaré neurotoxique par l'une des plus importantes revues médicales au monde —, la structure de pouvoir qui désire une population complice doit imaginer un moyen de modifier notre neurochimie.

    Le lithium altère notre manière de penser en modifiant les taux de sérotonine et de noradrénaline sécrétés par notre système endocrinien. C'est un puissant modificateur cérébral, ce qui n'empêche pas cet employé de la NASA dans la vidéo susmentionnée de le déclarer « inoffensif » pour la population. Même les médecins qui prescrivent normalement ce médicament aux malades mentaux le considèrent comme dangereux parce qu'il est difficile d'en déterminer le dosage approprié. Il est certain qu'en pulvériser sans distinction des doses massives dans l'air par le biais d'aérosols devrait donner lieu à des interrogations, mais voici la position officielle de le NASA concernant cette pratique :

    Ce projet étudie les particules neutres et chargées dans la ionosphère et comment chacune affecte la manière dont les autres se déplacent, ce qui engendre des courants dans ces régions. Ces fluctuations ont de l'importance parce que toutes nos communications et satellites GPS émettent des signaux via la ionosphère. Toute perturbation de cette dernière affectera également ces émissions ;  les scientifiques veulent donc connaître les causes de ces comportements spécifiques. (source)

    Et pour parer à l'éventualité où les sur-médicamentés commenceraient à se rendre compte de ce qu'on leur fait, le gouvernement a imposé le secret au service météorologique (NWS) et à l'administration océanique et atmosphérique (NOAA) du pays qui pourraient être en mesure de facilement réfuter les allégations ridicules de la NASA.

    Et surtout, le salaire de chaque employé de la NASA, du NWS ou de la NOAA est payé avec l'argent des contribuables. Ce qui signifie que nous finançons notre propre médication et empoisonnement.

    Pour corroborer l'information fournie par la vidéo d'un agent de la NASA (déjà mentionnée dans cet article), le Code 8440 RMMO faisant état de l'objet précis de l'utilisation de la base de Wallops (en Virginie) pour le lancement d'une fusée contenant de la thermite de lithium :

    Objectif : Le but premier de cette mission était de tester les méthodes de chargement des cartouches de lithium avant les prochaines missions Kudeki (Kwajalein, avril 2013) et Pfaff (Wallops, juin 2013) et  contrôler leur fonctionnement en condition de lancement de fusée-sonde et de vol spatial.

    Type de fusée : Two-stage Terrier MK70 Improved-Orion

    Site : Wallops Range

    Lanceur : MRL

    Date de lancement : 29 janvier 2013

    Heure : 17:50 EST

    Résultats de l'essai : Les données des thermistances semblent nominales. Bon rapport d'enregistrement vidéo de la plateforme optique aéroportée et nuages de lithium également visibles à l'observation au sol.

    Cet appel spécifique nous apprend aussi que l'on déverse du lithium par voie aérienne depuis 1970. Si vous vouliez droguer les masses pour en faire des esclaves décérébrés ignorant qu'ils sont en prison, ce serait certainement le bon moyen d'y parvenir. Pulvériser du lithium dans le ciel avec des tas d'autres bactéries, virus, prions, parasites, champignons, toxines, perturbateurs hormonaux, substances cancérigènes, anti-flore et anti-faune, ainsi que des micro-poussières capables d'altérer les gènes, n'est rien d'autre qu'une guerre biologique contre les citoyens de ce monde. Que vous les appeliez chemtrails ou autrement, l'effet est le même.

    La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays. [...]

    Nous sommes pour une large part gouvernés par des hommes dont nous ignorons tout, qui modèlent nos esprits, forgent nos goûts, nous soufflent nos idées. C'est là une conséquence logique de l'organisation de notre société démocratique. Cette forme de coopération du plus grand nombre est une nécessité pour que nous puissions vivre ensemble au sein d'une société au fonctionnement bien huilé. [...]

    Peu importe comment nous réagissons individuellement à cette situation puisque dans la vie quotidienne, que l'on pense à la politique ou aux affaires, à notre comportement social ou à nos valeurs morales, de fait nous sommes dominés par ce nombre relativement restreint de gens – une infime fraction des cent vingt millions d'habitants du pays – en mesure de comprendre les processus mentaux et les modèles sociaux des masses. Ce sont eux qui tirent les ficelles : ils contrôlent l'opinion publique, exploitent les vieilles forces sociales existantes, inventent d'autres façons de relier le monde et de le guider.

    ~ Edward L. Bernays, Propaganda (1928)

    Traduit de l'anglais par Ey@el
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