Article de Jesse Smith traduit par Ey@el

Available in English

© David Dees

La mise en place

Il y a pratiquement un an, l'ancien président Trump déclarait un état d'urgence national et la Maison blanche annonçait une stratégie sur 15 jours pour ralentir la propagation du coronavirus. Les gouvernements du monde entier précédèrent les États-Unis ou leur emboîtèrent peu après le pas avec des déclarations similaires. La flambée de totalitarisme depuis la mise ne place de ces décrets est ahurissante.

Rester chez soi, distanciation sociale et lavage des mains furent les premières étapes sur cette pente glissante vers la loi martiale médicale. Puis vinrent les confinements et les règlements instaurant le port du masque obligatoire. Suivis bientôt d'une pression à se faire dépister pour le Covid-19, du traçage des contacts, et des quarantaines. Étape suivante, les vaccins produits à la va-vite, autorisés par le FDA (équivalent américain de l'EMA — N.d.T. ) uniquement en cas d'urgence mais toujours considérés comme expérimentaux pour avoir passé outre les études d'innocuité à long terme. Maintenant, la menace de passeports ou certificats vaccinaux constitue la prochaine étape vers le despotisme et l’assujettissement complet des peuples.

Toutes ces mesures draconiennes ont été des outils d'ingénierie sociale pour habituer les gens à ce que des « experts » et des autorités gouvernementales leur disent quoi faire. En fait, on pourrait dire que toute l'humanité (hormis ceux au pouvoir) a été soumise à une torture lente au cours de l'année passée. Avec un taux de suicides ahurissant et une recrudescence de la toxicomanie, beaucoup ont décidé de tirer leur révérence. Le reste des populations a fait les frais du conditionnement comme des chiens de Pavlov. Durant la « pandémie », la plupart des gens ont été réduits à dépendre des autorités pour leur dire quand aller travailler, rendre visite à leurs proches, voyager, aller à l'église, serrer quelqu'un dans ses bras ou même leur serrer la main.

Le chemin qui mène au contrôle totalitaire commence toujours par quelque chose de simple et de raisonnable en apparence. De même, il s'accompagne généralement d'une promesse de paix et de sécurité en échange du renoncement à ses droits.

– Jesse Smith, Mask Up! The Con Game to Destroy Your Freedom

Aimer ses oppresseurs

Il y a une maladie en circulation qui est bien plus grave que n'importe quel coronavirus. Il s'agit du « syndrome de Stockholm » et elle contamine ceux qui sont trop ignorants, confiants et effrayés pour remettre en question les pouvoirs en place et les tenir pour responsables. Les individus infectés boivent toutes les paroles de personnes comme le Dr Anthony Fauci peu importe le nombre de fois où il s'est contredit lui-même ou même fait prendre en flagrant délit de mensonge. Ils sont parfaitement d'accord pour se faire injecter un vaccin élaboré à la vitesse de l'éclair avec une technologie entièrement inédite qui n'a jamais été testée auparavant sur des êtres humains. Ils aboient après les gens qui refusent de porter un masque dans les magasins. Ils traitent quiconque rapportant des faits qui contredisent le narratif établi de complotiste. Ils applaudissent quand ceux qui ne sont pas d'accord avec eux se font censurer, déplateformiser, et perdent même leur emploi. Ils ne protestent pas quand les autorités prolongent ou promulguent de nouvelles règles qui restreignent leur liberté au nom de l'état d'urgence. Ils ne se mettent même pas en colère quand des représentants hypocrites se font prendre à enfreindre leur propre règlement. Mais ils s'empressent d'attaquer quiconque remet en question leurs dirigeants bien-aimés et essaie de restaurer la liberté comme lorsque Greg Abbott, le gouverneur du Texas a ré-ouvert son état et aboli l'obligation de port du masque (enfin, c'est une manière de parler).

Je ne peut rien faire contre le manquement au devoir du @GovAbbott mais je peux choisir de porter un masque.

— Champion of Democracy (sur Twitter)

L'entraîneur des Spurs (équipe de football texane — N.d.T.) traite le gouverneur du Texas de « ridicule » et d'« ignorant » pour avoir retiré l'obligation du masque.

— The Hill (sur Twitter)

Nous connaissons tous quelqu'un atteint de ce syndrome. Il s'agit peut-être d'un membre de votre famille, d'un ami proche, d'un collègue ou d'un voisin. Ils ont été conditionnés pour aimer leurs suzerains despotiques. En échange, ils ont appris à aimer leur servitude et à applaudir lorsque les autorités prennent des mesures répressives pour leur « permettre » ensuite de faire ce qui était autrefois normal et considéré comme des droits fondamentaux. C'est à cause de gens comme ça que de plus grandes restrictions et une oppression plus importante nous pendent tous au nez.

Un passeport pour les gouverner tous

Les ingénieurs de la « pandémie » ont reconnu que toute nouvelle technologie se heurte souvent à la résistance des masses mais pourrait être adoptée rapidement en cas de crise sanitaire. Quelle meilleur moyen que d'obliger les gens à se servir d'une technologie prévue longtemps à l'avance pour asservir l'humanité que de les faire prendre en otages par un virus « mortel » qui leur fait craindre pour leur vie ?

– Jesse Smith, Dystopia Now! – Surveillance Through Vaccine Certificates, Digital IDs, and Biometric Data

Les passeports vaccinaux ou « immunitaires » représente le clou final au cercueil de la liberté. Si les gros titres successifs ne vous mettent pas en colère, c'est que vous devez faire partie des personnes atteintes du syndrome de Stockholm qui aident discrètement les élites à construire une planète-prison numérique dont il sera extrêmement difficile de s'enfuir.

Les passeports sont déjà utilisés en Israël pour « autoriser » les citoyens vaccinés à retourner dans les salles de sport, les hôtels et les enceintes sportives. Le « Passeport vert » israélien a de fait créé un état d'apartheid médical où ceux qui refusent la vaccination (quelle qu'en soit la raison) sont traités comme des citoyens de seconde ordre. En février, les Israéliens vaccinés ont eu l'opportunité de profiter d'un concert en plein air dont les parias sociaux non-vaccinés ont été exclus.

Le premier ministre de la santé israélien Yuli Edelstein a averti que si des citoyens contrevenaient au système du Passeport vert, il n'hésiterait pas à reverrouiller l'économie, déclarant :

Nous fermerons l'économie aussi vite que nous l'avons ré-ouverte.

Et pour couronner le tout, Israël a également a issu des « bracelets de liberté » que toutes les personnes venues de l'étranger devront porter. Ces bracelets remplaceront la quarantaine obligatoire de deux semaines dans une infrastructure spéciale. Donc si vous allez en Israël, vous aurez le choix entre porter un dispositif de surveillance comme un criminel condamné ou affronter une quarantaine de deux semaines dans un hôtel géré par l'armée. Les bracelets ont été élaboré par SuperCom, une société spécialisée en dispositifs de localisation des délinquants. En débattant du contrat du gouvernement israélien pour les bracelets de quarantaine, le PDG de SuperCom et le président Ordan Trabelsi ont déclaré :

Nous les appelons « bracelets de liberté » parce que nous n'enfermons personne mais leur donnons au contraire l'opportunité de rentrer chez eux.

C'est ça la liberté selon vous ?

Ilana Rachel Daniel, conseillère médicale et chargée de communication pour Rappeh, un parti politique à Jérusalem, a attiré l'attention sur les tentatives d'Israël de contester le consentement éclairé et de nier l'autonomie corporelle. Dans l'interview ci-dessous, elle s'en prend directement à un « journaliste », lui faisant remarquer, entre autres points saillants, que les vaccins contre le Covid-1984 n'avaient pas reçu l'agrément complet du FDA.

Dans un enregistrement audio, Daniel tirait la sonnette d'alarme à propos des mesures drastiques mises en place par le gouvernement :

Ils élaborent ce passeport vert où la moitié de la population ne pourra accéder aux théâtres, aux centres commerciaux et ce genre de choses à moins d'être vaccinés. Ils sont en train de créer un apartheid médical.

Ils font porter aux gens un bracelet à la cheville (un bracelet électronique) quand ils reviennent de l'étranger. C'est totalement insensé.

La société israélienne de cybersécurité Check Point Software Technologies Ltd. a instauré un système de ségrégation vaccinale pour ses employés. Si vous avez fait tous vos vaccins, vous pouvez profiter d'avantages comme des traitements capillaires dans un salon de coiffure, accéder à une salle de sport sur place et à des salles de jeu auxquels les non vaccinés n'ont pas droit. Sans preuve de vaccination ou de test Covid négatif, vous ne pouvez même pas manger avec vos collègues et vous devez resté isolé à votre bureau. Dès le mois d'avril, ceux qui ne pourront produire de certificat vaccinal ne seront même plus admis dans l'enceinte de la société !

Concernant les positions de la société, son porte-parole Gil Messing a déclaré :

Nous ne culpabilisons personne. Nous ne pointons personne du doigt. Tout ce que nous disons, c'est : « Ce sera notre position ». Si vous vous faites vacciner, vous bénéficierez d'avantages auxquels les autres n'auront pas droit.

 Pour enfoncer le clou, Yuli Edelstein a en outre averti que :

Quiconque ne se fera pas vacciner ne pourra se rendre que dans les supermarchés ou les pharmacies alors que les autres pourront accéder aux stades et aux salles de sport.

Après avoir reconnu que ces déclarations constituaient un cauchemar juridique, les responsables de la santé publique ont concédé que ceux présentant des tests négatifs datant de moins de 48 heures seraient également autorisés à entrer. Toutefois, ils veulent rendre le dépistage plus difficile en restreignant les centres et en augmentant les tarifs afin que davantage de personnes optent plutôt pour la vaccination.

Pire encore, le parlement israélien a emboîté le pas au gouvernement espagnol en adoptant une loi afin de ficher les personnes qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre le coronavirus. Leurs données personnelles seront partagées avec les autorités locales et nationales pendant les trois prochains mois à venir au minimum.

Bien que l'initiative du Passeport vert soit censée n'être que pour six mois, le premier ministre Benjamin Netanyahu est en pourparlers avec Pfizer et Moderna pour une commande de vaccins supplémentaires afin d’administrer une seconde dose plus tard dans l'année. Ce qui signifie que les passeports actuels devraient être renouvelés pour ceux qui recevront leur rappel.

Par le biais de coalitions internationales telles que GAVI et COVAX, les gouvernements et les géants de l'industrie pharmaceutique se sont transformés en une Gestapo médicale singulière, amadouant tout le monde, à coups de propagande, de moyens de coercition extrêmes et en leur dissimulant des informations factuelles, pour qu'ils se fassent injecter leurs vaccins. Les gouvernements ont vendu leurs populations corps et âmes au programme plus vaste que j'ai énoncé clairement dans un article intitulé "Méfiez-vous du vaccin (5)" (non disponible en français – N.d.T.). Pfizer a même exigé que les pays achetant son vaccin renoncent à leurs bases militaires, ambassades et autres actifs souverains en garantie contre les poursuites judiciaires anticipées pour préjudices vaccinaux.

Il n'y a pas qu'Israël

Le Royaume-Uni ainsi que de nombreux pays européens envisagent sérieusement d'instaurer ce système de passeport. La Commission européenne a récemment annoncé un projet de loi pour créer un « Passeport numérique vert ». L'Inde a rejoint le contigent en ajoutant un QR code à sa version du certificat. Et ça ne devrait surprendre personne que la Chine ait également lancé sa propre version appelée « Certificat de santé pour les voyages » à l'étranger disponible sur son application mobile WeChat.

Pour ce qui est des Américains, merci de ne pas vous reposer sur vos lauriers en pensant que c'est quelque chose qui ne peut arriver qu'à l'étranger. Les États-Unis sont résolument décidés à adopter ce système de passeport. Actuellement, l'état de New York teste son propre passeport vaccinal baptisé « Pass Excelsior ». L'annonce officielle stipule que :

Élaboré en partenariat avec IBM, le Pass Excelsior utilisera une technologie sûre et éprouvée pour confirmer la vaccination d'un individu ou un test de dépistage négatif récent contre le Covid-19 par le biais d'un transfert de données confidentiel afin d'accélérer le réouverture des théâtres, stades et autres commerces conformément aux directives de l'état de New York. [...] Le Pass Excelsior jouera un rôle essentiel dans la transmission d'informations aux lieux et sites de manière fiable et simplifiée, nous permettant d'accélérer la réouverture de ces entreprises et de nous rapprocher d'une nouvelle norme.

Les compagnies aériennes sont également les principaux colporteurs de cette arnaque au passeport. S'exprimant au nom d'autres compagnies aériennes telles que American, Delta, JetBlue, Southwest United et Alaska Airlines, le président de Airlines for America (A4A) fait pression sur le congrès pour envisager fermement d'aller à l'encontre de la recommandation actuelle de l'OMS de ne pas rendre les passeports vaccinaux obligatoires pour les voyages aériens.

Le district scolaire de Los Angeles s'est associé à Microsoft pour lancer son application « Daily Pass » dont le logiciel servira à programmer et tracer les tests de dépistage et les vaccinations gérés par l'académie. Les élèves et le corps enseignant devront recevoir leur autorisation via l'application avant de pouvoir être admis dans les écoles quand elles ré-ouvriront.

Récemment, Arthur Kaplan, professeur d'éthique médicale à l'université de New York, est allé sur CNN défendre le concept de ces passeports vaccinaux dignes des « étoiles jaunes » des Nazis, déclarant :

En promettant aux gens une plus grande mobilité, davantage de possibilités pour obtenir un emploi et voyager, vous disposez d'arguments très puissants pour obtenir la vaccination du plus grand nombre.

Les passeports vaccinaux requièrent l'accès ;  il est difficile d'imposer quoi que soit à moins d'être pratiquement sûr que qu'une personne puisse se faire vacciner. Je pense donc qu'il faudra un peu de temps avant que cela se mette en place, du moins aux États-Unis.

Mais il va y avoir des communautés et des régions dans le pays où il deviendra logique, en raison de l'accès facile au vaccin, de dire : « Vous voulez revenir travailler en personne ? Alors montrez-moi votre certificat de vaccination. Vous voulez aller dans un bar ou au restaurant ? Montrez-moi votre certificat de vaccination. »

Tout ceci fait partie d'un programme mondial

Le débat sur la question de savoir s'il faut implémenter des passeports vaccinaux est à l'ordre du jour dans le monde entier. Peu importe le nom donné à ces applications, il est probable qu'elles reposeront toutes sur un logiciel ou un cadre commun qui leur permettra de « communiquer entre elles » indépendamment de leur pays d'origine. Parmi les principaux développeurs de cette technologie, on trouve AOK Pass, Common Pass, the Vaccination Credential Initiative, Good Health Pass Collaborative, le IATA Travel Pass.

Ce que toutes ces sociétés, organismes et intiatives ont en commun sont leurs liens avec le Forum économique mondial, la transformation numérique de la société et la gouvernance mondiale. Si vous n'avez pas vu le documentaire Decoding Davos: The Global Endgame (Décodage de Davos: l'objectif mondial ultime), je vous suggère de le regarder rapidement. Il permet de comprendre de manière claire comment cet organe de réflexion mondial manipulent le monde vers un « Grand Reset » promettant un contrôle strict de la vie humaine par le biais d'une nouvelle technologie numérique comme les passeports vaccinaux.

Avec le président Biden, de connivence avec ces projets mondiaux, ayant récemment menacé de « rétablir les restrictions » si les progrès dans la lutte contre le virus s'avéraient insuffisants, je me demande encore combien de temps les Américains vont continuer à se laisser endormir en croyant que la liberté et le retour à la normale sont pour bientôt ?

Au bout du compte, les grands chefs autoritaristes instaurant ce nouveau régime de loi martiale médicale exigeront le respect total de leurs mesures. Si vous décidez pour quelque raison que ce soit de refuser le vaccin contre le coronavirus, préparez-vous à être traité comme un pestiféré voire même d'être considéré comme un criminel à mesure que cette dystopie à la Minority Report se déploiera. Il est maintenant temps de faire tout ce que vous pouvez pour vous libérer de la dépendance aux systèmes actuellement en place et de ceux que la cabale mondiale prévoit, dans un avenir proche, d'instaurer comme nouvelle norme.

Traduit de l'anglais par Ey@el
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