• Le Feu cosmique et la destruction de la ionosphère terrestre

    Article de V. Susan Ferguson traduit par Ey@el

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    Les énergies cosmiques du spectre électromagnétique que nous qualifions de rayons cosmiques, rayons gamma, etc., se déversent en permanence sur la Terre, nous bombardant de leurs fréquences qui pénètrent nos corps et nos consciences. Et c'est là, en nous qu'elles sont transformées et métaphoriquement « sacrifiées » par le biais du subtil mécanisme de nos sept chakras. Ce qui alimente et fournit le combustible aux projections « d'apparences » qui en découlent sous forme de ces réalités holographiques dont nous profitons et faisons l'expérience sur le plan terrestre.

    La géo-ingénierie, à l'origine des trous dans la ionosphère et du déversement de tonnes de métaux toxiques dans notre atmosphère, a provoqué un déséquilibre monstrueux dans notre environnement et engendré un état de dysharmonie catastrophique sur notre planète. Cette relation autrefois parfaite et si fragile entre les fréquences sous forme d'ondes cosmiques qui nourrissent toute vie sur Terre et l'indispensable Feu cosmique et le système des chakras humains est menacé à l'échelle industrielle.

    Ce que reçoivent désormais de l'espace intersidéral, les cieux, et assimilent la plupart des êtres humains ici bas n'a plus rien à voir avec ce qui était prévu pour nous à l'origine. La nature existe et fonctionne au sein des harmonies sacrées des principes métaphysiques traditionnels éternels qui constituent le substrat de l'univers visible. L'altération de cette transmission — le Feu cosmique — mènera tout droit à l'inévitable catastrophe.

    Déconnectés comme nous le sommes actuellement de ce qui fut autrefois le « lait » maternel nourrissant des rayons du cosmos — notre « nourriture cosmique » sacrée — c'est l'humanité toute entière qui sombre peu à peu dans la folie, se précipitant aveuglément vers l'omnicide et l'inéluctable disparition de la biosphère.

    Par mes recherches dans le Rig Veda1 et les textes disponibles sur la ionosphère et la physique des plasmas comme Kinetic Theory of the Inner Magnetospheric Plasma (la théorie cinétique du plasma magnétosphérique interne) du Dr George V. Khazanov, j'en suis venue à apprécier et éprouver une admiration profonde envers cette incroyable et subtil lien entre l'énergie du cosmos et la conscience.

    Pas étonnant que les anciens Rishis2 vénéraient les principes cosmiques et cosmogoniques perçus par la suite comme des divinités ou des dieux. L'étude des mosaïques d'une infinie complexité, des conglomérats et enchevêtrements labyrinthiques de la mouvance des particules ondulatoires interconnectées, dansant et se bousculant sous l'effet de la température et de la vitesse, est, à mon sens, la représentation parfaite du mystère infini de Dieu, la création éternelle en mouvement [avis aux chiens de Pavlov, comme le chantait John Lennon, « Dieu est concept », le radical di signifiant entre autre soleil, briller et sachant que, toujours selon Lennon, « nous brillons tous », vous n'y verrez donc aucun amalgame religieux mais un simple terme que vous pourrez remplacer par celui qui vous conviendra, le langage étant aussi limité que le mental qui l'a créé — N.d.T.].

    Pour ne citer qu'un seul exemple, dans "Collisions avec des electrons suprathermiques" [4.4.2], le Dr Khazanov de la division scientifique d'héliophysique du centre spatial Goddard (NASA) décrit la transformation d'électrons « suprathermiques » en électrons « thermiques » dans une discussion portant sur la composante électronique du plasma circumterrestre :

    Les processus de base de la formation d'électrons dans la ionosphère consistent en l'ionisation de composants neutres présent dans la haute atmosphère sous l'effet des radiations solaires (vents solaires, etc.) [...] L'énergie exédentaire qui en résulte excite les ions et pénètre le plasma de la ionosphère sous forme d'énergie cinétique, les électrons produits atteignant des valeurs de l'ordre de centaines d'électron-volts [...] à peine créés, ces électrons suprathermiques subissent une série de collisions à la fois élastiques et non-élastiques au contact des particles de la ionosphère qui les transforment finalement en électrons thermiques avec des énergies de l'ordre de dix pour cent d'électron-volts.

    ~ Khazanov 1979

    Cet exemple n'est qu'une description des processus extraordinaires et mystérieux en action dans notre plasma circumterrestre et ces échanges énergétiques ont lieu à chaque instant autour de nous même si cette magie céleste illusoire demeure ignorée de la plupart.

    Khazanov reconnait que « la structure extrêmement complexe de l'équation cinétique des électrons empêche sa résolution non seulement par procédés analytiques mais également numériques. Il est donc nécessaire de se baser sur des hypothèses simplificatrices... »

    De cette simplification de base, il donne l'exemple des fonctions mathématiques des électrons suprathermiques et thermiques du plasma circumterrestre.

    « Les collisions provoquent des déperditions énergétiques d'électrons suprathermiques et leur lente transition vers des zones de basse énergie. C'est ce processsus de déperdition énergétique qui finit par transformer les électrons suprathermiques en électrons thermiques » explique Khazanov. Sa déclaration portant sur les processus de physique plasmique me rappelle les réflexions de René Guenon sur la « solidification de la matière » à mesure que les cycles temporels s'enfoncent encore davantage dans la densité. La matière tend à s'y dégrader pour finir par se désintégrer.

    S'il existe une poignée de génies des mathématiques de la physique plasmique béats d'admiration devant la Création comme c'est mon cas, pourquoi leurs théories, découvertes et équations complexes et compliquées ont-elles été détournées vers une l'utilisaiton aussi destructrice de cet effroyable arsenal ? Pourquoi se sert-on de cette technologie pour détruire ?

    La physique plasmique constitue la nouvelle prêtrise de notre époque et ces hommes sont tous ses serviteurs. Notre Kali Yuga3 actuel est phase de dissolution. Dans l'ancien Rig Veda, on trouve le mot sanskrit rodasi pour décrire le ciel et la terre. Les Prophètes savaient que les deux sont inséparables. Ils « voyaient » la Vérité, satya. Les anciens Rishis comprenaient la relation créatrice de vie, l'interconnexion sacrée et l'indispensable interdépendance entre l'homme sur terre et le cosmos, à savoir les spectre des énergies errant et circulant à travers les innombrables galaxies au-dessus de nos têtes.

    Le passage ci-dessous nous éclaire sur les mécanismes de cette loi cosmique :

    Les trente-trois modes d'énergie cosmiques loués et vénérés ici sur terre constituent pourtant un danger dans l'espace. Ici bas, ils sont sacrifiés, transformés à notre avantage par la transmission d'ondes lumineuses transitant par nos facultés sensorielles. (Rig Veda VIII.30.2)

    Traduit de l'anglais par Ey@el
    © lapensinemutine.eklablog.com

    Notes et références

    1. ^ Le Rig Veda est une collection d'hymnes (sūkta) sacrés ou encore d'hymnes de louanges de l'Inde antique composés en sanskrit védique. Il fait partie des quatre grands textes canoniques (Śruti) de l'hindouisme qui sont connus sous le nom de Veda. C'est l'un des plus anciens textes existant en langue indo-européenne. Sa composition remonte entre 1500 et 900 av. J.-C. selon les indologues, les philologues et les linguistes. (source)
    2. ^ Rishi en sanskrit signifie « chantre-auteur des hymnes védiques, poète, voyant ; démiurge, géniteur ; patriarche, sage, ascète, ermite ». Un Rishi védique est un témoin primordial de toutes les régularités à l'œuvre en ce monde qui manifestent pour lui le Véda au sens premier de « découverte » de l'ordre cosmique. Il est celui qui a vu les vérités éternelles. (source)
    3. ^ Le Kali Yuga (« âge de Kali » ou « âge de fer »), est le quatrième et actuel âge de la cosmogonie hindoue. Les hindous croient que la civilisation humaine dégénère spirituellement au cours du Kali Yuga, qui est dénommé « l'âge noir », car durant cette période les gens sont aussi éloignés que possible des Dieux. (source)

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