• Mascarade

    Graphisme d'Ey@el

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    Le monde est devenu fou. Rien de nouveau sous le soleil (enfin si, l'augmentation des éruptions solaires qui ne fait que commencer). Mais là, on nage tellement dans la dissonance cognitive que c'en est devenu carrément insoutenable de voir des personnes qu'on appréciait tellement — d'ordinaire pourvues de bien plus bon sens et d'intuition que la moyenne des masses somnambules — se faire happer dans le vortex tourbillonnant de cette gigantesque tromperie que d'aucuns qualifieront à juste titre de mascarade grotesque, plus connue en jargon technique sous le terme de « psy-op » (opération psychologique). Un scénario catastrophe qui, comme son nom l'indique, n'existe que dans l'esprit des gens qui se sont laissés hypnotiser par les médias tout-puissants au service de ceux qui nous contrôlent à des fins absolument pas louables. Hollywood/JT, même combat !

    Dans ta tête, dans ta tête :
    Zombie ! Zombie ! Zombie !
    Dans ta tête, qu'est-ce qu'il y a ?
    Dans ta tête :
    Zombie ! Zombie ! Zombie !

    "Zombie", The Cranberries (1994)

    Cas de dissonance cognitive caractérisée : ce masque que la « loi » nous contraint désormais de porter dans les lieux publics, là où il y a peine trois mois encore, elle nous l'interdisait formellement.

    « Non, mais t'as rien compris, bêêê ! C'est un cas de FORCE MAJEURE. »

    Majeure et pas encore vaccinée. Mais ça viendra. Par la force s'il le faut. Jusqu'à ce que mort cérébrale s'ensuive. Enfin pour ceux qui y consentiront. Parce que comme disait Dumbledore à Voldemort (qui avait tellement peur de la mort que, dans son besoin absolu de contrôle, il réussit à détruire son âme au nom d'une croyance erronée), « ton incapacité à comprendre qu’il existe des choses bien pires que la mort a toujours constitué ta plus grande faiblesse ». (Source)

    Et justement, vous ne trouvez pas ironique qu'on nous impose le port du masque au moment même où tombe enfin ceux des acteurs de ce monde ? Si la voix porte la vibration de l'âme, les yeux en sont le miroir. Alors grâce à ce fichu masque obligatoire en société (comme si le figuré qui ne suffisait pas déjà à nous étouffer), on va enfin pouvoir se concentrer sur l'essentiel et peut-être chacun y gagnera-t-il en discernement. J'aime à croire une telle « absurdité » (logique inversée oblige) parce que malgré toute la tristesse dans mon regard, j'ai la fibre optimiste. Certes, j'ai parfois — souvent, un peu beaucoup — le vague à l'âme mais tant qu'elle me portera, jamais je ne cesserai de surfer sur la vague. Parce que mon âme est bien plus résiliente qu'il n'y parait et j'ai enfin compris que je ne pouvais me fier qu'à elle.

    Ce matin, en sortant,
    Je n'en croyais pas mes yeux :
    Cent milliards de bouteilles
    Échouées sur le rivage.
    On dirait que je ne suis pas le seul
    À être dans la solitude :
    Cent milliards de naufragés
    En quête de refuge.

    "Message In A Bottle", The Police (1979)

    Ey@el

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    « La plus puissante éruption solaire depuis des années coïncide avec les émeutes, nous rappelant qu'activité solaire et agitation sont historiquement liéesComment faire, en ces temps difficiles, pour ne pas être constamment dans la peur »

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