• Et maintenant les confinements climatiques « pour le bien de la planète »

    Article de Cap Allon traduit par Ey@el

    Available in English

    © The Guardian

    À ceux qui acceptent, sans se poser de questions, le dernier rapport apocalyptique du GIEC (groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), il va vous falloir aussi accepter que les confinements climatiques ne sont plus qu'une formalité. Un terme sera mis aux déplacements, un rationnement alimentaire sera imposé, et vos libertés seront éradiquées ; tout ça pour une crise inventée de toute pièce à laquelle vous avez naïvement adhéré.

    Le but des élites est de contrôler comme on pouvait s'y attendre — et ce dernier rapport en date du GIEC constitue l'impulsion finale pour en tirer le bénéfice maximum avant que les problèmes réels de pénurie alimentaire et les troubles sociaux que cela engendrera ne prennent le dessus sur notre société mondiale et la plongent dans le chaos.

    Des récoltes déficitaires d'une ampleur inimaginable sont à prévoir à mesure que le Grand Minimum Solaire continue de s'intensifier.

    En ce moment même, sur toute la planète, des phénomènes climatiques imprévisibles sont en train de dévaster les cultures : de fortes gelées en Amérique du Sud ont transformé l'Argentine et le Brésil en nations importatrices ; en Afrique du Sud, les cultures ont été ravagées par une récente poussée de froid sans précédent ; aux États-Unis, la sécheresse et les gelées persistantes ont vu les estimations sur la production de blé chuter de 70% ; alors qu'en Europe et en Chine, les inondations largement rapportées sont également en train de décimer les récoltes là aussi.

    Et tout ceci aura un effet domino sur vos supermarchés locaux avec déjà une répercussion à la hausse sur les prix et des pénuries perceptibles.

    Ce sont les réalités que nous expérimentons aujourd'hui.

    Et l'influence humaine n'y est absolument pour rien (à part notre croyance naïve, en instaurant ces systèmes de mono-culture, que le climat demeurerait à jamais constant). Non, ces « changements climatiques » sont liés à une diminution de la production solaire et à une décroissance du champ magnétique — et imputer ces perturbations monumentales à des facteurs tels que les pets de vache constitue une honte pour la science. Ce n'est pas de la science, c'est du dogme, de la sorcellerie. Mais comme l'histoire nous l'a démontré, les humains sont nés pour suivre et une voix faisant autorité, peu importe l'incommensurable stupidité de son message, sera toujours convaincante.

    Une élévation des températures permet à la vie et à la biodiversité de prospérer — ce qui est le cas depuis des temps immémoriaux. C'est pourquoi les forêts tropicales abritent la majeure partie de la flore et de la faune sur Terre, même si elles ne couvrent que moins de 12% de tout le territoire.

    C'est lors d'un refroidissement que les problèmes surgissent – la vie se débat dans le froid. L'Arctique couvre 10% de la superficie territoriale de la planète, mais ne contient que 600 espèces végétales, 100 espèces d'oiseaux, aucun reptiles ni amphibien et seulement 20 mammifères.

    Malheureusement, un refroidissement s'inscrit dans tous nos avenirs.

    À ce qu'on dirait, le soleil s'approche de son prochain cycle de 400 ans de Grand Minimum Solaire qui marquera une chute d'activité prolongée qui, par l'action conjuguée de divers mécanismes, provoquera une chute drastique des températures terrestres.

    Et le GIEC ne veut pas que le sachiez.

    Ils ne veulent même pas que vous envisagiez cette éventualité, parce que cela menacerait leur théorie du réchauffement climatique anthropique (RCA).

    Selon les affirmations du GIEC, ce serait parce que l'irradiation solaire totale (IST) ne fluctue pas beaucoup (dans une fourchette de 1360 à 1363 W/m2) que le soleil aurait très peu voire aucun impact sur les températures terrestres ; mais c'est une position bien trop simpliste.

    Minimiser l'importance du soleil dans le climat frôle l'hilarité ; toutefois, minimiser la réalité cosmologique est un des traits distinctifs du GIEC.

    En réalité, une faible activité solaire induit bien plus qu'une légère diminution de l'IST ; il y a bien plus de forçages qui affectent la température de notre planète. Une faible production solaire induit un afflux de rayons cosmiques provoquant la nucléation des nuages, un réveil de l'activité volcanique, et même une diminution des aurores boréales. Tout ceci ainsi que la diminution du champ magnétique terrestre est largement esquivé par des gens comme le GIEC et leurs pantins que sont les médias de masse.

    Ce n'est que pure logique que de présumer que le soleil joue un rôle essentiel dans le climat terrestre.

    Et une fois que vous admettez cela, le fait que notre étoile est actuellement à son plus bas niveau depuis cette dernière centaine d'années voire plus (et encore en train de s'affaiblir) devrait bien entendu constituer le fondement de toute théorie basée sur le climat. « Ils » s'attendent à ce que nous croyions que le fait que soleil enregistre son plus bas niveau depuis plus d'un siècle se produisant au même moment où les oscillations entre les extrêmes climatiques s'accentuent n'est que pure coïncidence. En fait, « ils » ne mentionnent même  pas que le soleil a atteint un seuil historiquement bas de son activité.

    Également, pourquoi le GIEC n'écoute-t-il que les points de vue des scientifiques qui sont d'accord avec eux ?

    Ce n'est pas très scientifique.

    Il y a beaucoup de voix éminentes et respectées qui affirment non seulement que le GIEC se trompe sur le RCA, mais qu'une ère de refroidissement est en train de se profiler.

    Néanmoins, on ne permet pas au public d'entendre ces visions alternatives tout aussi qualifiées et au lieu de cela, on l'abreuve de rhétorique anxiogène de fin du monde qu'on lui fait avaler au quotidien (rien de surprenant à ce que nos jeunes se soient faits autant corrompre par ces conneries — une fois encore, une voix ayant autorité sera toujours plus convaincante peu importe l'illogisme ou le caractère franchement irréaliste de son propos).

    Aujourd'hui 10 août, le soleil est une fois encore « vierge » de toute tache solaire — et au cours de l'accélération vers le Cycle Solaire 25, pas moins — une période où il devrait tourner à plein régime.

    Et pourtant, nous voilà au huitième jour sans tâche depuis la fin juillet.

    Le soleil faiblit.

    Le CS25 est en voie de devenir aussi déficient que le précédent (SC24), à savoir le cycle le plus faible du siècle dernier.

    Depuis 2016, les températures planétaires ont chuté autour de 0,7°C. Encore un fait qui ne figure pas dans le dernier rapport alarmiste du GIEC, dont le but n'est bien sûr pas d'informer le public mais de faire la propagande pour préparer les masses à un avenir totalitaire de confinements permanents, pénuries alimentaires, et d'intensification des phénomènes électriques — « quelque chose se prépare ».

    Le bilan médiocre du GIEC

    Ce qui fait sans doute le plus peur est que le monde accepte aveuglement les inepties du GIEC.

    Ce n'est pas comme si la commission affichait un bilan excellent voire même acceptable — ils ont eu tout faux depuis le début et à la moindre occasion : de leurs prédictions sur la disparition totale de la banquise arctique à leurs prévisions sur la température planétaire et l'élévation du niveau des océans (qui devait conduire à l'inondation des villes côtières d'ici l'an 2000).

    Notez également la déformation du narratif quand les données du monde réel ne vont pas dans leur sens.

    L'hypothèse du « réchauffement planétaire » était à l'origine très simple à comprendre, voire même cohérente et méritait une recherche plus approfondie : « l'augmentation des taux de CO2 atmosphérique induit des températures toujours plus élevées, ce qui donnera lieu à des étés plus chauds et des hivers plus doux avec moins de neige ».

    Cependant, en 2021, alors que la planète affiche des signes de refroidissement qui ne trompent pas et que les données du monde réel continuent de sérieusement ridiculiser des scientifiques comme Michael Mann et des prophètes nombrilistes tels que Al Gore, « le grillage dévastateur de la terre ferme » comme j'aime à l'appeler, constitue désormais TOUT ÉVÉNEMENT MÉTÉOROLOGIQUE CONNU, y compris les records de froid, les chutes de neige sans précédents sur des hémisphères entiers, et l'expansion de la calotte glaciaire de l'Antarctique.

    Voici juste deux points de position récents que les rapports originaux du GIEC auraient qualifiés d'impossible aujourd'hui :

    En cette saison, la masse de neige totale pour l'hémisphère nord culmine à plus de 500 gigatonnes au-dessus de la moyenne de 1982-2012 [Institut météorologique finlandais].

     

    La calotte glaciaire antarctique (qui comprend 90% de l'eau douce de la planète) est bien supérieure à la moyenne de 1979-1990 et en phase d'accroissement [NSIDC].

     

    L'élévation des températures constitue la pierre angulaire de la théorie du réchauffement planétaire.

    Par conséquent, rien d'autre n'a d'importance si le mercure ne grimpe pas.

    Et nous y voilà : non seulement les températures ne s’élèvent pas, mais elles inversent maintenant la tendance observée à la fin des années 70 (depuis la fin de la mini-période de refroidissement).

    Et maintenant les « confinements climatiques »

    Des indicateurs actuels donnent à penser que nous allons bientôt faire face à des restrictions de déplacement, pas uniquement à cause de la pandémie mais aussi pour des raisons politiques et environnementales (je ne peux pas parler du virus sans être pénalisé, je ne peux absolument pas dire du mal des vaccins mais faites votre propre recherche sur la « protéine spike » itinérante et biologiquement active en commençant par la chaîne DarkHorse sur YouTube).

    La menace exagérée du Covid demeurera pleinement en vigueur et le virus continuera en effet à circuler et à muter en souches plus résistantes aux vaccins — tout comme c'est le cas chaque année pour la grippe saisonnière à la différence, toutefois, que cela occasionnera davantage de confinements.

    Dans une large mesure, les gouvernements maintiennent en place les restrictions de déplacement et les exigences de tests compliquées pour dissuader fortement les gens de voyager « pour des raisons autres que le Covid-19 » peut-on lire dans article récent de Forbes.com.

    Ce qui nous amène à un autre prétexte pour dépouiller les masses de leurs libertés les plus fondamentales — la soi-disante « urgence climatique ».

    Comme l'a rapporté The Telegraph, « les restrictions dues au Covid ont servi de test pour la manière dont nos habitudes de vie pourraient être à l'avenir restreintes pour le bien de la planète » où les gouvernements cherchent à endiguer les voyages bon marché et réduire les émissions carbone sous couvert d'« écologie » alors qu'en réalité, leurs intentions sont bien plus sinistres.

    Une population déjà confinée avant les choses tournent mal est bien plus gérable. Ajoutez à cela le rationnement alimentaire (à cause des pénuries planétaires et des restrictions de déplacements susmentionnées) et pour aller de l'avant, le seul moyen de nourrir votre famille sera de vous plier à toutes les règles draconiennes qui seront mises en place par ce système global (encore invisible) de gouvernance mondiale.

    Dans une telle situation, ils vous tiendront à leur merci.

    Vous n'aurez aucun choix.

    Aucune liberté.

    Vous serez un vrai esclave de leur système, si vous ne l'êtes pas déjà.

    C'est en effet une « alerte rouge pour l'humanité ».

    Libérez-vous avant qu'il ne soit trop tard — enfuyez-vous et développez vos propres ressources.

    Traduit de l'anglais par Ey@el
    © lapensinemutine.eklablog.com

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